44%
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44%, de Paul Sergent. 10/03, Paris. Semaine de Nikopol (44% et 45% se répondent…)
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J’adore……………
Commentaire par moije — Samedi 10 mars 2007 @ 20:12
Fallait oser. De prime abord quel beau canular ! Bravo, ça ferait bien sourire.
Mais après réflexion, quelle trouille. Et si c’était possible ? N’y-a-il pas en ce moment des gens qui se préparent à une sorte d’insurrection ?
En 95 ou 96 j’ai rencontré un gars, jeune, « propre sur lui », paraissant un sportif accompli : parachutisme, course d’orientation, plongée, mais ensuite aussi : close-combat, tir, camouflage. Entraînement façon Rambo. On s’est aperçu qu’en fait il s’entraînait à la guerre civile. Il faisait parti d’un groupe style occident chrétien et milice FN qui se préparait au déferlement de hordes venues d’outre-méditerranée…
En d’autres temps certains ont déclaré que la victoire était au bout du fusil (et la démocratie au bout du bombardier?). Hélas cela paraît toujours d’actualité.
Commentaire par yvalin — Dimanche 11 mars 2007 @ 10:45
Mal à l’aise aussi.
Il y a tout de même la référence possible aux sous-commandant Marcos, aux insurgés indiens du Mexique. Une cagoule et des armes qui ne sont guère modernes; et une parole de résistance (Marcos, pas tellement dans le film). L’homme sans visage (visage caché) c’est toute personne qui invisible dans les calculs des capitalistes est prête à lutter, ce fut dit ainsi par Marcos. Et l’arme comme venant alors simplement illustrer la décision de lutter jusqu’au péril de sa vie.
Commentaire par pascal b — Dimanche 11 mars 2007 @ 14:54
Est-ce que ça n’est pas plutôt caricatural ? Le coup du mec prêt à prendre les armes, mais qui n’a aucune idée à la base. il me semble que quand un groupe prend les armes, a recours à la violence pour faire valoir ses idées, aussi criticable que ça puisse être, il y a toujours à la base une idéologie explicite.
Pour le coup, dans ce film-là, je ne vois pas de référence à Marcos.
Commentaire par Thomas — Dimanche 11 mars 2007 @ 16:31
Thomas a raison. Je proposais juste de dire que l’arme exhibée comme simulacre,avec une cagoule, celui qui l’a le mieux fait connaitre, et dit avec poésie, c’est Marcos.
Commentaire par pascal b — Dimanche 11 mars 2007 @ 19:10