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Je te reconnais bien là mon p’tit Rom1!
Ce petit film arrive là où il voulait aller : droit au but.
Je la sens bien moi cette petite semaine LFD…
Commentaire par Isa — Lundi 12 mars 2007 @ 21:54
belle forme de résistance ! il fallait l’écrire, il fallait la dire ( et pourquoi pas la hurler ? en tout cas ça fait envie!).
Il fallait le faire, c’est fait : ça aide à se sentir moins seul dans ses différences et revendications passées sous silence plus de fois qu’on ne le voudrait.Bravo Romain!
Commentaire par gretel la rebelle — Lundi 12 mars 2007 @ 22:51
Oh que ça fait mal! Bien écrit, efficace, sensible …et puis cette voix que je connais par coeur et ce discours qui boulverse même si… bravo Romamo!
Commentaire par ZaZa de Picuze — Mardi 13 mars 2007 @ 11:54
enfin un film construit et en construction j my connais
il ya aussi: aimer discuter se regarder apprendre pardonner acompagner prendre le temps faire ou ne pas faire mais avancer
1332007 12h36
Commentaire par marco de picuze — Mardi 13 mars 2007 @ 12:39
Comme il est loin, le temps des gentilles p’tites interviews face caméra !
Pour la forme, pas à dire : c’est original…
Pour ce qui est du fond, malheureusement… je trouve ça un poil convenu, quasi estudiantin, même.
« Danger travail, le travail c’est pas bien, etc. »
C’est une problématique de français bien nourri (je m’inclus dans le lot)…
Malheureusement, pour beaucoup de gens (ceux-là n’ont pas forcément de quoi bricoler des petits films) le travail est ENCORE un moyen de « s’en sortir » et d’échapper à des conditions de vie impossibles.
Allez délivrer le même discours à un crève-la-faim refoulé par les ANPE, à un immigré porté par le (faux ?) espoir qu’il allait trouver une situation meilleure ici, ou par une personne discriminée à l’embauche…
Je me demande ce qu’ils en penseront…
Commentaire par Mais ne nous délivrez pas du mal… — Mardi 13 mars 2007 @ 15:07
En fait l’argument proposé à 15h07 n’en est pas vraiment un.
Qu’une problématique soit déterminée par l’origine sociale de son emetteur et de son public (et plutôt, en ce qui nous concerne, par leur capital culturel) ne nuit en rien à sa pertinence.
C’est même plutot normal, et inevitable.
C’est ma proposition de socio de comptoir numero 1.
L’exclusion culturelle interdit, par definition, à celui qui en souffre de prendre conscience de son exclusion. Les domines culturels n’ont pas les moyens de se percevoir comme dominés. Cette méconnaissance permet au système de perdurer, d’ailleurs. Et concretement les dominés votent a droite, par amour du travail, qui sert a produire des richesses au profit des dominants
C’est ma propostion de socio de comptoir numero 2.
Mais bon, C’est Bourdieu qui explique ca, et il se trompe jamais.
Pour rebondir sur Danger travail, reference sans doute, au film d’un des fans de P.B, allons voir Volem Rien Foutre Al Pais, juste pour ce moment ou les travailleurs manifestants contre le chomage croisent les jeunes etudiants manifestants contre le travail.
Le travail des premiers a permis de faire acquerir aux suivants l’education necessaire a la comprehension du monde tel qu’il est.
Et du travail tel qu’il est, c’est a dire, pour beaucoup de gens, PLUS POUR LONGTEMPS un moyen d’echapper a des conditions de vie pas impossibles.
Alors je dirais, finalement, que justifier le travail est une problematique de francais assuré d’éviter les travaux degradants (je m’inclus dans le lot).
Apres je ne dis pas que je suis d’accord avec le propos du film, mais je pense juste que le debat n’a pas ete vraiment posé d’une maniere honnete à 15h07
Commentaire par inK.5 — Mardi 13 mars 2007 @ 18:22
A la relecture, je m’aperçois effectivement que ma remarque précédente sentait un tout petit peu le Café du Commerce (hips). Mea culpa.
Je n’ai sans doute pas le bagage « sociologique » suffisant pour aller point par point à l’encontre de tous vos (intéressants) développements. Mais je persiste à trouver plus subtile la méthode d’un film comme 47%, en ce sens qu’elle suggère plus qu’elle n’assène un propos somme toute assez voisin.
Ici, l’on croirait avoir affaire à un assemblage de mots/slogans/tracts estudiantins… et cela (comme tout ce qui a rapport avec le milieu estudiantin) a le don de me hérisser au plus haut point.
Ce doit être mon côté « vieux con de 30 ans » qui me joue des tours…
Commentaire par Mais ne nous délivrez pas du mal... — Mardi 13 mars 2007 @ 20:10
Mauvaise foi jusqu’au bout, mmmm, N.B.? Toutefois, on sent un embryon de remise en question, c’est déjà ça…
Commentaire par Polo — Mardi 13 mars 2007 @ 21:06
Sur le coté salvateur du travail, un article sur libération.fr sur les suicides de Renault, et maintenant d’EDF.
Morceaux choisis:
« En effet, pour respecter les limites individuelles d’exposition aux radiations ionisantes, EDF fait se succéder, sur les postes exposés, des travailleurs recrutés par le biais de la sous-traitance et de l’intérim. C’est la «gestion de l’emploi par la dose». Les travailleurs doivent porter des dosimètres qui enregistrent la dose de rayonnement à laquelle ils sont soumis et transmettent l’information par informatique à EDF. Quand le travailleur atteint la dose maximale autorisée, l’accès à la centrale lui est fermé. Pour un CDD ou un intérimaire, la mission est finie d’office. Il ne travaillera que plusieurs mois plus tard quand il aura remis à zéro son «crédit d’irradiation»
le reste: http://www.liberation.fr/actualite/economie/240985.FR.php
Commentaire par EDF communication — Jeudi 15 mars 2007 @ 12:33
Oui, non. Constructif. Ca tombe bien lorsqu’il s’agit de fabriquer un pont ! Un pont romainesque.
A bientôt gringo.
Commentaire par Vincent — Lundi 26 mars 2007 @ 14:35
Bravo !
Commentaire par FD — Jeudi 5 avril 2007 @ 16:16