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Ce que je trouve vraiment bien ici, c’est qu’on oppose un film à un discours. Un dispositif de cinéma permet de contrecarrer un discours fasciste. En opposant la vision déshumanisée de l’histoire, globalisante et niant totalement l’individu, à une histoire personnelle, mélangeant les ressentis, les souvenirs individuels et un positionnement solidaire sur le monde et ceux qui y habitent, est-ce qu’on est pas en train de générer une pensée d’opposition au fascisme : un individu avec son histoire, cherchant sa place dans le monde à travers l’Histoire passé et futur, face au discours d’un fasciste niant le passé et ne proposant rien pour l’avenir, si ce n’est de la douleur et de la haine.
Commentaire par Mr.B — Vendredi 6 avril 2007 @ 13:57
c’est un documentaire qui vous prend « aux tripes », bravo à Odile d’avoir pu rencontrer un élu responsable au FN, moi je n’aurai pas pu, mais ce monsieur a du mal à regarder la caméra en face et l’Histoire .
il est en recherche de respectabilité, et son discours que l’histoire apporte l’oubli ,ce documentaire nous prouve que non et que l’Histoire nous rappelle à la mémoire que la « BETE »est encore vivante , à nous d’être toujours vigilants
Commentaire par Eliane — Vendredi 6 avril 2007 @ 14:48
Je ne suis pas d’accord avec le principe de ce film.
Selon moi, on ne discute pas avec le fascisme, on le combat pour le faire taire, pour l’abattre. Ce n’est pas pour rien qu’on l’appelle la bête immonde. Vous vous donnez mal au ventre et offrez à ce monsieur une petite jouissance à bon compte. Il vous a emmenées sur son terrain, a choisi ses références et s’est payé le luxe d’apparaître comme celui qui veut l’appaisement, la paix, alors qu’il est du parti de la haine.
Commentaire par alexis — Vendredi 6 avril 2007 @ 16:22
Voici ce que j’ai lu dans le CP du3/04/2007 page 25.
QUAND VOUS SAUREZ QUI ELLE ETAIT VRAIMENT VOUS RIGOLEREZ MOINS,BANDE DE CRETINS
Ainsi c’est exprimé le 02/04 au conseil Régional de Bourgogne REGIS DE LA CROIX VAUBOIS,élu FN de la Nievre
Il s’opposait au projet de rebaptiser un lycée au nom de LUCIE AUBRAC,figure Historique de la résistance.
Il a précisé qu’il visait les prises de position en faveur des sans papiers.Mais dans le fond c’est sa Haine des communistes qu’il voulait démontrer mais il n’a pas osé.
Quand j’entend l’elu régional fn du Poitou dire qu’il faut oublier il ne manque pas de culot l’individu .Car eux ,ils ont de la mémoire et sous des façons policées ils endorment les gens .
Pour rappel le CHILI,l’ARGENTINE,le BRESIL,LA GRECE ont été il n’y a pas si longtemps sous régime et dictature d’extrême droite.Nous avons vu là, la douceur de leurs méthodes .Les communicants du fn sont efficaces et bien lisses mais rien ne change dans leurs têtes et ils n’ont pas évolué depuis pétain avec tout ce que cela comporte.
Commentaire par MARCEL — Vendredi 6 avril 2007 @ 16:37
Je suis d’accord avec toi alexis. On le combat, on le supprime, mais comment ? Tu ne penses pas que c’est aussi une guerre idéologique qu’on mène, donc qui ne passe pas que par l’acte physique de cassage de gueule (on les aligne tous et on tire ?) mais qui demande une réelle interrogation sur les modes de pensée pouvant l’éliminer dans son ensemble le fascisme.
Commentaire par Mr.B — Vendredi 6 avril 2007 @ 17:15
Je crois que le film d’Odile est nécessaire et légitime. Légitime car il faut voir la réalité en face, voir l’étendue de la menace. C’est gens là sont les dignes fils de Hitler, Pinochet, Franco et compagnie.
Nécessaire, c’est Roland Barthes qui l’a dit à propos du film de Chaplin Les Temps Modernes. Il prenait l’exemple du Guignol (l’ancêtre de Lyon, pas Canal +). Il disait que ce qui fait réagir c’est de voir Guignol qui ne voit pas les coups qu’il va recevoir. »Voir quelqu’un ne pas voir c’est la meilleure façon de voir intensément ce qu’il ne voit pas ». (dans Le pauvre et le Prolétaire » in Mythologies).
Les cadres fascistes sont inaccessibles au dialogue, quel qu’il soit. Ils n’existe pour eux que le rapport de force qui d’ailleurs peut passer,pour eux, par une tentative de séduction. Dit autrement ils sont dans la négation de notre part d’humanité.
Quand je vois et entends la détresse et la souffrance d’Odile, j’ai envie d’agir fortement. Si un jour je me sens moins militant, je me remettrait le film d’Odile et ça me requinquera aussi sec.
http://www.chambre-claire.com/PAROLES/A-las-Barricadas.htm
Commentaire par Pascal — Vendredi 6 avril 2007 @ 17:23
Film sans interet. Qui ne démontre absolument rien, si ce n’est une haine absurde de l’Extrême droite et de son grand leader Mr Le Pen qui, il faut le reconnaitre un grand homme.
Vous etes le reflet type de « l’ANTI FRANCAIS », du RACISME anti-blanc et anti-vrai francais.
Commentaire par jules — Vendredi 6 avril 2007 @ 17:49
Bravo Jules : un peu de provoc’ dadaïsto-nihilisto-suicidaire ne peut pas faire de mal, sur un site fréquenté par une majorité de gauchistes bien pensants (je m’inclus malheureusement dans le lot). J’espère que c’était REELLEMENT de l’humour noir, cela dit…
***
Plus sérieusement : à quelque réserves près (l’intro et la conclusion en voix-off, peut-être pas assez « écrites » à mon goût) j’aime beaucoup ce film, l’un des plus émouvants/coup de poing (oui, c’est compatible) de votre série.
Commentaire par Mais ne nous délivrez pas du mal... — Vendredi 6 avril 2007 @ 18:12
Mr B, pour moi, l’idéologie FN n’existe pas, il n’y a, dans ce type de mouvement, aucune autre visée que la mort. C’est une puissance de mort qu’il faut combattre comme telle.
Comment la combattre autrement que par les armes ? Je ne sais pas. Nous avons essayé pendant longtemps, avec Ras l’front. Nous avons dégouté pas mal de militants FN. Nous les avons réduit au silence sur nos marchés. Et pourtant le FN n’a cessé de progresser.
Aussi, je suis écœuré par la façon dont le PS s’est servi du FN pendant près de 20 ans pour gagner triangulaires sur triangulaires. Combien de députés, combien de maires, combien d’élus PS grâce à la présence du FN ? Je crois que le PS porte une très lourde responsabilité dans la montée du fascisme en France.
Commentaire par alexis — Vendredi 6 avril 2007 @ 19:02
Me gusta que sea auténtico, que hayas mantenido el plano sobre ti, porque realmente lo interesante es ver tu reacción ante lo que él escupe por esa boquita. Me incomoda un poquito, pero eso es prurito personal mío, la sombra de debate televisivo que tiene y el aroma maniqueo del enfrentamiento, porque no hay posibilidad alguna de entendimiento y eso lo intuyes desde el primer momento.
Muy buen off, muy francés, y muy de vísceras.
Y tú muy guapa con ese pelo estilo La môme (Edith Piaf).
Bien por Odile!!
P.D.: ¿Por qué se titula 71%? A parte de que sea la pieza 71 del total. ¿Es el porcentaje de neuronas de alguno de los contertulios?
Commentaire par Estoy harto de ser buena — Vendredi 6 avril 2007 @ 19:34
Alors pas d’accord alexis. Comment tu peux réduire le fascisme à une pulsion de mort. Je pense qu’au contraire en la traitant comme tel, c’est nier l’histoire d’une part, en faire une chose désincarnée, oublier que ce sont des valeurs de mort et de haine qui ont été et qui continuent à être véhiculé dans de nombreuses situations, oublier l’eugénisme, etc… La résumer à une pulsion de mort, c’est je pense simplifier tellement le contexte (notamment le ramener uniquement à des contextes politiques particuliers) et la morale nauséabonde qu’ils promeuvent que ça en devient la première défaite de notre combat. C’est une pensée, une idéologie qui traverse l’histoire (que nous ne nions pas, contrairement à eux…), qu’il nous faut maintenant plus que jamais stopper.
Commentaire par Mr.B — Vendredi 6 avril 2007 @ 19:49
Oui, surement Mr B, tu dois avoir raison. Il y a une idéologie fasciste plus ou moins cohérente. Elle ne m’intéresse pas.
Ce qui m’intéresse, en revanche, c’est le mécanisme humain qui fait qu’un homme se met à haïr, à tuer, à torturer, à violer par devoir. C’est le mécanisme qui fait justement sortir l’homme ordinaire de l’humanité, pour en faire une bête monstrueuse. « Il est toujours fécond, le ventre qui enfanta la bête immonde. »
Je ne réduis pas le fascisme à une énergie tournée vers la mort, je dis que je le considère comme cela avant tout.
Commentaire par alexis — Vendredi 6 avril 2007 @ 21:17
Ne pas filmer le fasciste, c’est dire que sa parole parfois doucereuse est toujours inhumaine, sans visage. Bonne idée.
Le fasciste dit que la dirigeante des staliniens espagnols a égorgé à la canine nue un pauvre curé; de source sûre; Faurisson a fait un article à ce sujet? un ancien nazi qui bombarda Guernica lui a dit en avoir été témoin? un ancien français de la division Charlemagne a rencontré le curé ressuscité?
Le fasciste dit: « on a exterminé vos amis, on a gagné, parlons d’autre chose,maintenant »; il propose l’amnistie en quelque sorte. Or, les familles des massacrés ne demandent pas des actes de justice, ne demandent pas que l’amnistie de fait soit remise en cause; ils demandent le souvenir, la paix pour les morts, la dénonciation historique des bourreaux. Amnistie mais pas oubli. Le fasciste, lui, est pour la perpétuation de l’offense faite aux massacrés, entassés dans d’anonymes fosses communes.
Odile, ce qui fait mal au corps, ce ne sont pas les paroles venimeuses et menteuses du fasciste, c’est de savoir que des personnes que l’on aime tant peuvent les approuver.
Commentaire par pascal b — Vendredi 6 avril 2007 @ 22:34
Ce pascal b m’épate…
Commentaire par Romain — Samedi 7 avril 2007 @ 3:11
bravo pour ce film difficile à entendre, merci à Pascal B. pour son analyse.
je voudrais aussi dire que le ton de la voix du fasciste quand il raconte cette histoire d’égorgement suinte d’une jouissance atroce, à défaut de l’avoir fait il jouit réellement de pouvoir le raconter.
Commentaire par yves judde — Samedi 7 avril 2007 @ 17:14
La Bête Immonde existe,oui et elle existe depuis TOUJOURS parce qu’elle vit en nous, en chacun de nous. A l’instar d’Alexis qui veut la tuer, chacun de nous a en lui une part de cette bête qui cherche à détruire ce qui le dérange.
Je vois dans la montée des fascimes (seul Le Pen ose se dévoiler )l’émergence de cet inconscient collectif (dans sa part la plus sombre) si cher à Jung ( il avait vu juste quant à ce qui arrive aujourd’hui)!
Et je dis BRAVO à Odile d’être allée l’affronter ; en général, il est plus confortable de l’éviter, ça évite le mal au bide et tout le reste. Mais nier l’étanger en nous-mêmes, c’est comme le montre ce discours et comme le souligne justement Pascal B, nier une part de notre individu. La fuite est certes nécessaire parfois ( on fait ce qu’on peut) mais elle ne peut l’être durant toute sa vie sous peine d’empêcher notre évolution et de vivre sous le couperet de nos pulsions animales.
Et Dieu sait que nous ne sommes pas que des animaux, bien que la société actuelle ne nous sollicite qu’en cet endroit.
Ah et puis : si nous cessions de nous « cataloguer » : il y a les ceux-ci et les ceux-là; il y a ce que je suis ou voudrais être, ce que je ne suis pas ou ne voudrais pas être… qu’est-ce que c’est enfermant !
Bref. Ceci pour dire que nous sommes sous le feu de nos projections quasiment en permanence et qu’il vaut mieux le savoir…100jours : le Miroir de nos miroirs?
Commentaire par gretel la rebelle — Samedi 7 avril 2007 @ 21:30
Quand Gretel la rebelle commence à trouver des qualités à Le Pen ( »seul Le Pen ose se dévoiler »), au milieu d’un méli-mélo de soupe moralisante, faisant in finé appel à Dieu, là je me dis qu’on tombe très bas.
Quant à mon clivage que j’ignorerais, comme dit mon psy : « la psychanalyse a sa place dans les cabinets » à moins de la transformer en vaste bazar qui dit et justifie tout et n’importe quoi.
Je n’ai jamais dit que j’étais contre filmer le fascisme, mais contre le fait d’offrir à ce monsieur une petite jouissance à bon compte. Voilà, c’est tout.
Commentaire par alexis — Dimanche 8 avril 2007 @ 8:25
Au coeur de l’engagement fasciste, il y a la préparation de la jouissance du meurtre de masse, c’est le secret de l’efficacité du discours fasciste à certaines périodes de l’histoire, dont la nôtre. Il faut se rappeler Le Pen qui face aux témoignages prouvant qu’il fut tortionnaire en Algérie disait que c’était faux, qu’il ne laisserait pas dire une telle chose ET que la torture était tout à fait justifiée. Pour un chef fasciste, il s’agit de dire que l’on est civilisé, pour le grand public et dire aussi que tout est permis à la race des maîtres pour les initiés qui se réjouissent. L’acharnement à nier l’existence des chambres à gaz dans les camps d’extermination nazie (les négationnistes dont Le Pen) fonctionne aussi ainsi: dire qu’il faut un débat apaisé contradictoire (genre intellectuel civilisé), puis insister, suggérer de plus en plus le message caché: les juifs et leurs alliés ont inventé tout ça, car ils sont à la tête d’un vaste complot pour dominer le monde. Et là les fascistes jouissent de leur diabolique adresse. Alors oui, c’est un discours de mort, mais il a plusieurs strates et il faut l’analyser, le prendre au sérieux, démontrer inlassablement en quoi toute discussion est refusée par eux. Ce film illustre cela terriblement.
Commentaire par pascal b — Dimanche 8 avril 2007 @ 9:38
En réponse à Alexis : ok, mon laïus d’hier soir n’est peut-être pas très recevable ni très clair, je te le concède. Cependant, je revendique ma liberté de pensée et d’expression, même formulée maladroitement, qui vaut autant que celle de quiconque.
Alors, je clarifie : 1) s’il faut le dire, JAMAIS, le fn n’a eu et n’aura ma voix.
2) utiliser les mêmes armes aux même fins ( »abattre ») que celui qui nous répulse, non, je ne suis ABSOLUMENT pas d’accord. Comment pourrait-on prétendre au moins réduire les dégâts, au plus changer le monde?
3) constater que Le Pen a toujours été clair quant à ce qu’il entend combattre( c’est ce que tu appelles « trouver des qualités???) ne signifie nullement le cautionner; c’est tout au plus de l’honnêteté intellectuelle.
3) « le pen ose se dévoiler » : dans un combat, je préfère savoir qui et ce que je combats, c’est, entre autre, ce qui me donne la force de m’opposer! Bien d’autres noient le poisson, nous manipulant à gogo, nous faisant croire à nos libertés, utilisent la démagogie à qui mieux-mieux, nous séduisent ( ou essaient!)mais au final, les intentions sont les mêmes : récupérer le pouvoir à des fins personnelles sans véritable souci des intérêts du peuple(pour faire court).
4)depuis quand les dires des psy sont paroles d’évangile?
Enfin, si un côté « moralisant » fait partie de mes défauts que j’essaie d’assumer, j’espère que, dans la panoplie de tes qualités, l’humour tient une place d’honneur!
Bonne fin d’après-midi
Commentaire par gretel la rebelle — Dimanche 8 avril 2007 @ 17:33
A pascal b : merci toi qui trouves les mots pour redire clairement les choses ; dans bien des cas au fil de tous tes commentaires, j’ai hoché de la tête en guise d’assentiment. Pour le coup, moi qui ai tendance à toujours regarder les choses par le même bout de « ma « lorgnette, lire tes points de vue m’intéresse car ils nourrissent ma réflexion en apportant un éclairage que je ne vais pas forcément chercher et des éléments de connaissance et d’analyse qui m’apparaissent pertinents et d’utilité publique! :-)
Merci pour ton implication!
Commentaire par gretel la rebelle — Dimanche 8 avril 2007 @ 17:50
O.K. Gretel la rebelle, bien reçu. Juste une chose à propos de ton 2) Se rapeller il y a un peu plus de dix ans, lorsque les nationnalistes Serbes marchaient sur Vukovar, la réaction des européens, qui, ne voulant pas « ajouter la guerre à la guerre » ont refusé des armes aux Croates, pourtant dans leur bon droit à ce moment-là, contrairement aux Serbes. La conséquence ? Des femmes enceines éventrées, des femmes violées, des enfants décapités, abbatus, des hommes torturés, émasculés, des camps, tout simplement, des exécutions de masse.
Et encore il y a peu de temps sur France Inter un journaliste qui dit : « 50ans sans guerre, sur notre continent, c’est historique ! » Envie d’hurler, dans ces moments-là.
Oui je crois que se souvenir de l’histoire, c’est se souvenir aussi que parfois, la force s’impose.
Bonne fin de dimanche à toi aussi.
Commentaire par alexis — Dimanche 8 avril 2007 @ 18:00
que se puede decir de una geniooooooooooooo
Commentaire par elena martin — Lundi 9 avril 2007 @ 11:23
muy bonito
me ha gustado mucho
sencillo, pero agarra
planteamiento, nudo y sindesenlace (que de vez en cuando viene muy bien)
Commentaire par cesar diez — Lundi 9 avril 2007 @ 20:59
Enhorabuena Odile!!
Me encanta verte, por fin, y verte tan bien.
vaya salto, de pasar de la política a pasar a la acción.
Que tus nudos sigan siendo así de creativos. A ver si se nos pega a todos.
Un abrazo gigante y estrecho desde tu asturias.
Commentaire par carmen — Lundi 9 avril 2007 @ 21:06
Extraordinario mini-documental,
extraordinaria Odile,
extraordinariamente estúpidos los comentarios fascistas del cerdo ese.
Cuídate mucho astur!
Commentaire par Juanmal — Mardi 10 avril 2007 @ 16:54
Yo también tengo un nudo en el estomago
Bien hecho, besos
Commentaire par Marta Méndez-Bonito — Jeudi 26 avril 2007 @ 15:09
Gracias,
Odile, por invitar a la reflexión.
¡Qué interesante tu planteamiento!
La empatía… ese divino tesoro restringido a una
élite.
Lo que me ha sacado de quicio son las maneras intelectualoides y el
aire de «mira cuánto sé,
bonita» del señor fascista que aparece de espaldas
a la pantalla, ese «arte» que tienen los
señores y las señoras fascistas para interpretar
los acontecimientos históricos en función de la
coyuntura en la que se encuentren… que por algo son
fascistas, claro.
Según se desprende de un estudio psiquiátrico,
parece ser que el fascismo tiene curación.
Señores fascistas, consulten a su médico de
cabecera.
Monsieur le fasciste,
Vous devez sans doute être très malheureux dans
votre vie noyée dans la peur et dans la haine.
Je me permets de vous adresser ces
quelques lignes pour vous dire qu’il y a une nette
différence entre la vision que vous vous faites de
l’histoire de l’Espagne et la vision que nous avons de l’histoire de
notre pays.
En effet, cette histoire que vous nous présentez
là, Monsieur le fasciste, c’est une histoire que vous avez
sans doute lue quelque part. Mais l’histoire que vous vous
permettez de manipuler de façon si maladroitement, Monsieur
le fasciste, n’est pas dans vos livres; elle est
écrite dans nos veines, dans nos entrailles. Cette histoire
que vous croyez connaître, Monsieur le fasciste,
est écrite avec le sang de nos familles.
Recupérer la mémoire historique de celles et de
ceux qui ont été assassinés et
jetés dans l’oublie d’une fosse commune
est un devoir de mémoire et pour les familles et
pour nous, la société espagnole. Qui
êtes-vous pour vous permettre de dire que les espagnols
doivent oublier les attrocités du passé?
Avez-vous oublié une seule minute votre
père, votre mère ou un être
cher? Avez-vous la chance de savoir où ils se trouvent,
d’avoir une pierre tombale où vous recueillir?
Avez-vous le privilège de lire leurs noms sur ces pierres tombales?
Patético… pero a la vez instructivo. Es difícil emprender la marcha, pero muy fácil saber hacia dónde no hay que ir…
Gracias Odile.
Chema.
Commentaire par Chema, el de 34% — Vendredi 4 mai 2007 @ 19:58