11 commentaires »

1. Dernière scène éloquente.

   Commentaire par Romain — Vendredi 20 avril 2007 @ 12:30

2. oui très bien l’entrée du directeur, le silence , le regard appuyé vers la jeune femme ( regard de crainte :qu’est elle en train de raconter? regard d’intimidation : attention à ce que tu pourrais raconter !)et une vraie question : que peut- on dire dans le cadre du travail, comment s’adresse t-on à sa hiérarchie ?

   Commentaire par isabelle — Vendredi 20 avril 2007 @ 14:00

3. Petite parenthèse : il est où le résultat du vote Pascal / Pascal B ? On est pas très informé!

   Commentaire par isabelle — Vendredi 20 avril 2007 @ 14:08

4. Je sais qui c’est la prof de français… Ou en tout cas c’est la même.

   Je suis fier du genre humain quand je vois le monsieur de l’interview qui a la fierté bien placée d’être fier que sa collègue prenne la parole et affirme sa dignité.

   Pour répondre à Isabelle, je suis sûr que c’est Pascal B qui a perdu au micro trottoir électronique pour savoir si c’etait lui ou moi qui étions le plus de gauche. Ce qui prouve de façon irréfutable une fois encore que j’ai toujours raison. Le pied ! Pascal B aux chiottes !

   Le coup d’oeil appuyé du directeur me fait penser à un geste de pouvoir par infantilisation de son interlocuteur/trice, ce qui est une technique parmi tant d’autres de l’exercice du pouvoir. Et comme le pense Thierry Breton (il va être parachuté sur Poitiers ou pas pour les municipales ?) « qu’est-ce que le pouvoir sans abus ? ».

   Une dernière citation pour clouer le bec à toute récrémination du perfide Pascal B « Le pouvoir donnera des vertiges tant que le pouvoir ne sera pas partagé par tous. ». Je sais que tu sais de qui c’est mais au moins c’est moi qui l’est dit le premier. Vrai ou pas vrai ! Reconnais, usurpateur de prénom !

   Commentaire par Pascal — Vendredi 20 avril 2007 @ 14:40

5. Oulah !
   Une précision : nous avons gardé ce dernier plan parceque ça nous semblait drôle par rapport à ce qui venait d’être dit sur l’autorité.

   Ca me gène que vous preniez ça comme une tentative d’intimidation, car je ne pense vraiment pas que ce soit le cas, d’autant que le directeur lui-même encourage les salariés à s’exprimer lors des réunions, et que l’ambiance entre salariés nous semble plutôt détendue.

   Ce coup d’oeil fait référence à autre chose, ou plutôt c’est une parodie de ce que vous y voyez. Mais comme ce n’est pas dit dans le film, effectivement, ça peut passer pour ce que vous dites.
   C’est donc une erreur de notre part. Nostra culpa.

   (Attention aussi à ne pas faire du manichéisme patron méchant contre salariés opprimés, il me semble que ce n’est pas approprié dans le cas qui nous occupe)

   PS : Pascal : « c’est moi qui l’AI dit le premier » Rôôôôh !

   Commentaire par Thomas — Vendredi 20 avril 2007 @ 16:44

6. Ha ! C’est bien ce que je pensais !

   Commentaire par Rémi Lucas — Vendredi 20 avril 2007 @ 17:37

7. Moi, j’ai bien vu que le dernier plan était une auto-dérision mise en scène par le directeur. Eh oui, moi je l’ai vu. Je l’ai vu que c’était une entreprise d’insertion, un truc avant de se lancer dans le grand bain de l’exploitation généralisée, où l’on parle d’efficacité pas seulement comptable mais aussi humaine. Voilà, j’ai le triomphe discret.

   Commentaire par pascal b — Vendredi 20 avril 2007 @ 19:36

8. Ont voix bien là qu’on spiration de Pascal B et Thomas D pour tantaient de me daicribilisez au pré dé lecteur. Vous ni arrive raie pas !

   Commentaire par Pascal — Samedi 21 avril 2007 @ 7:29

9. Non. C’est sûr. Tu es en train de te décridibiliser tout seul.

   Et rien ne t’interdis de prendre de la graine de la qualité de l’analyse et des commentaires de pascal b…

   Commentaire par Romain — Samedi 21 avril 2007 @ 18:12

10. rien ne t’interdiT !

    Commentaire par Romain — Lundi 23 avril 2007 @ 12:26

11. Reste calme, Romain. la compétition avec Pascal B n’est que de comédie.

    Commentaire par Pascal — Dimanche 29 avril 2007 @ 15:22

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