3 commentaires »

1. C’est louche : quatrième film autour de « Pourquoi pas » !
   C’est sûr, l’équipe de flblb s’est vendu pour une semaine de repas gratuit !
   C’est pas joli-joli, ça, hein ?
   (Elle est dure la vie dans l’édition, tu sais.)

   Commentaire par Pascal — Jeudi 19 avril 2007 @ 13:23

2. Au départ, une présentation simple de son activité actuelle, et puis, un autre questionnement, un retour en arrière.Comment suis je arrivé là, quels métiers aurai je aimé faire, ou ai je fait ? Des regrets, des choix…Des personnes qui ne sont pas là -dans cette association, dans ce travail- par hasard,qui ont connu des difficultés, et qui vont « accueillir » d’autres personnes et les aider (voir 84%).
   C’est bien ce début un peu banal, qui appelle une question plus complexe, qu’on n’attend pas…

   Commentaire par isabelle — Jeudi 19 avril 2007 @ 13:44

3. Après les patrons-voyous (16%) voici le …patron-social ? Tiens ce serait bien de trouver un qualificatif à la fois explicite et qui sonne bien.
   L’ex-jeune syndicaliste (voir 83%) s’est mué en, apparemment, patron responsable. Merci de rappeler ce tryptique éthique, économique, juridique qui devrait, doit, motiver tout responsable de structure. J’ignore totalement si on évoque ces trois points en école de commerce, si c’est la motivation première pour s’engager dans le « management » en général ; mais j’y vois là un beau programme, sinon de cours, ou de colloque, tout simplement politique.
   En cela Isabelle dans le commentaire précédent a bien mis le doigt sur un élément très fort de ce film, et qui mérite réflexion, courte et incomplète comme la mienne, longue et réfléchie comme nous pourrions la développer ensuite.
   Une autre façon d’entreprendre, de travailler est possible.

   Une réflexion s’ouvre aussi sur la structure juridique de … l’entreprise : association, secteur marchand ou non, SCIC, société coopérative, etc… Car je ne suis pas vraiment d’accord avec ce que dit le directeur de « Pourquoi pas » sur le contrôle très fort des associations (ou je n’ai pas bien compris), il me semble que si cette structure est très contrôlée, doit rendre des comptes, c’est parce que c’est un chantier d’insertion et qu’elle doit avoir une forte part de financement public. Sinon une petite association, même avec quelques salariés, est fort peu contrôlé. De plus ce sont des structures où si vous n’excédez pas un certain chiffre d’affaire (de mémoire 80 ou 100 000 €) votre comptabilité est réduite, et il n’y a ni assujettissement à la tva, ni aux impôts.
   La très grande différence entre une association et une autre structure, c’est que celle-ci ne peut pas distribuer ses bénéfices, et qu’a priori les gens qui y travaillent ne recherche pas d’enrichissement personnel. Pas plus que ses membres et le conseil d’administration. Le but en est donc rarement pécunier, alors que c’est une « entité » qui peut permettre à de nombreuses personnes de vivre. Est-ce un paradoxe !!??

   Bon on continuera à cogiter, et bravo Flblb d’apporter si vite quelques réponses à mes interrogations d’hier !

   Commentaire par yvalin — Vendredi 20 avril 2007 @ 15:03

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