58%
Get the Flash Player to see the wordTube Media Player.
5 commentaires »
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URI
Laisser un commentaire
Vous devez être identifié pour d�poser un commentaire.
Très marrant ce décalage entre une émission radiophonique rêvée (quel apaisement !) et ce dilemme très absurde sur la grosseur des épluchures de la pomme de terre qui, par ailleurs et comme chacun sait, sert à mesurer la grandeur des nations depuis 1914 je crois ( c’est un signe !).
Commentaire par Pascal — Samedi 24 mars 2007 @ 16:24
Sans les perfusions orange et verte, les salauds deviendraient humains, l’Etat français tiendrait parole. L’Etat italien ne serait pas en proie aux délices de la vengeance maffieuse envers Battisti. Et on pourrait discuter tranquillement des épluchures comme mon camarade précédant et plus compétent.
Commentaire par pascal b — Dimanche 25 mars 2007 @ 0:35
Depuis 55 % j’aime autant les scenettes que les commentaires en répons
le total est savoureux
Commentaire par fidele au poste — Dimanche 25 mars 2007 @ 19:38
« Dans un commu-niqué fracassant envoyé ce matin à nos confrères Nicolas Sarkozy a déclaré qu’il n’est aucunement responsable des allégations portées contre les amateurs de pelures de pommes de terre, c’est à dire toutes les personnes qui préfèrent les manger plutôt que de se fatiguer à les pelêr avant. Il a en revanche reconnu qu’une patate pelée, ça se mérite »
Commentaire par Daniel — Lundi 26 mars 2007 @ 16:42
Pommes de terre et radio :
« Notre siècle est tragique par lui même ; aussi refusons nous de le prendre au tragique.Le cataclysme s’est abattu sur nous.Habitués déjà aux ruines, nous commençons à remettre sur pied de nouveaux petits logements, de nouveaux petits espoirs. Si nous ne pouvons pas nous frayer un chemin parmi les obstacles, nous les contournons ;ou nous passons par dessus. Il faut bien vivre, malgré que tant de cieux se soient écroulés. Après nous être pathétiquement tordu les mains, voilà que nous nous mettons à éplucher nos pommes de terre et à brancher notre poste de radio ».
D.H Lawrence. ( 1er paragraphe de « Lady Chatterley et l´homme des bois » )
Commentaire par isabelle — Mardi 3 avril 2007 @ 14:33