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A.B., je vous remercie de ces 5 minutes passées en votre compagnie. Vous m’avez touchée.
Commentaire par Ejve — Dimanche 4 mars 2007 @ 17:37
rude promenade qui ouvre des horizons tellement plus larges que ces rues tristes. Et la forme de la mise en image rompt un peu la série des portraits majoritaire jusque là. On sort en tremblant du face à face oeil bocal, bouche oreille et c’est très bien comme dispositif. L’aller et retour entre souvenirs et doutes, questions et pistes de réponses fait du bien et peuple ces images d’une hésitante et salubre largeur de vue. Mis ce n’est pas très étonnant de la part de cet individu. Quelqu’un-e qui passe du temps au Dietrich ne peut pas être complètement mauvais ! Merci en tous cas de ces minutes frêles et fortes.
Commentaire par Denis Reserbat-Plantey — Dimanche 4 mars 2007 @ 19:00
bonjour,
Oui, je rejoint ce mot ou cela fait du bien de re-trouver une « forme cinématographique » au milieu de ces nombreux ITV et dispositif que l’on peut définir comme « télévisuel ». Et là, je pense subjectivement qu’il y a un peu dérive ! Je trouve que l’initiative et la mise en place de ce projet est merveilleuse et je remercie toute l’équipe d’avoir travaillé à cela. Cependant, en tant que cinéaste documentaire amateur, je pense que l’excés d’un dispositif proche de la télévision et dangereux. Et qu’il aurai été plus politique d’avoir une exigence de forme cinématographique dans cette aventure ( de forme plus que de fond, le propre de l’art !), bien que cela soit dur mais certains l’on fait. Je ne dis pas cela, dans le sens ou tous ce qui s’est fait n’est pas bien. La place de la télévision est trés (trop) grande dans une certaine « manipulation » de chacun de nous d’une part. Et d’autre part la place du cinéma documentaire est devenue trés fragile vis à vis de ces docu-reportage toujours produit par et/ou pour la télévision. Pour nombreuses personnes le reportage est du documentaire et le documentaire est du reportage. Non ! Le documentaire est du cinéma, c’est de l’art ! Vis à vis de cela, en tant que cinéaste « politique » je pense qu’il est important de trouver des façons de donner à voir et à entendre autre que l’ITV télévisuel, de face à face, entre questionneur et questionné, … ! Il faut dépasser cette forme là, en inventer d’autre comme le film d’aujourd’hui en est une tentative. C’est ainsi que pour moi, le documentaire est politique…car il devient un art inventant ses limites, ses frontiéres, ses formes et autres, et la télé est entrain de tué cet art ! 100 jours est une merveilleuses experience mais en n’ étant pas assez exigeants dans les créations qu’ils donnent à voir et à entendre, je pense qu’il passe un peu a coté d’une certaine utopie politique qui semble étre les racines de son existence.
bon courage et a tous,
merci pour tous cela,
et que l’aventure continue pour nous amener vers des ailleurs a inventer…
NB : Straub et huillet, cinéaste on ne plus politique de part l’ intégrité qu’ils accordent a la forme de leurs création…ont réalisé en 2006 un court-documentaire de 10 min que je trouve trés politique mais avant tous cinématographique…aprés c’est mon point de vue!
On peut le voir chez http://www.pierregrise.com/distribution/film.php3?id_document=94 à la page « catalogue ».
Synopsis :
Le 27 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois, trois jeunes garçons affolés, poursuivis par la police, se réfugient dans le périmètre interdit d’un transformateur électrique. Deux vont mourir, brûlés vifs, Bouna et Zyed.
Si vous en pleurez encore…
Commentaire par lolo — Dimanche 4 mars 2007 @ 22:28
au coeur du vivant, avec nos déboires et nos espoirs, avec nos questions et nos tatonnements ; voix qui fait vibrer « la corde sensible à l’endroit de l’âme » et qui nous relie par ce qu’elle distille d’humain malgré nos histoires différentes. Merci pour ce partage.
Commentaire par gretel la rebelle — Dimanche 4 mars 2007 @ 23:53
merci Anthony pour cet aller retour vers le bureau de vote…
De la maison au bureau de vote, en passant par la rue: ce qu’on y a vécu, ceux qu’on y a rencontrés, la violence, l’amitié, l’envie de créer un moment collectif et convivial, puis une certaine lassitude, une nouvelle aventure, l’interrogation sur l’engagement, le vote (avant: on réfléchit encore un peu, après on rentre chez soi)…C’est très bien, et tout cela me fait aussi penser au texte de Machado, Marcheur…
Commentaire par isabelle — Lundi 5 mars 2007 @ 11:34
Anthony, j’aime beaucoup ton film ! Ca me fait aussi penser à la séquence « 1km à pied » dans « Peau de cochon » de Philippe Katerine (parce que je l’ai vu ce week end alors c’est tout frais dans ma tête). Bref j’aime bien ce ton, ces petites histoires, ces allers-retours de caméra.
Commentaire par An — Lundi 5 mars 2007 @ 19:02
D’abord bravo Anthony pour ton film.
Et après j’aimerai répondre à lolo à propos de son questionnement sur les similitudes (ou pas) de 100jours et les reportages télé.
En fait, la démarche documentaire (par conséquent cinématographique) était une exigence depuis le début du projet et je crois sincèrement qu’il n’y a pas, à 40% de la série, beaucoup de films qu’on pourrait voir à la télé tel qu’ils sont ici.
Il faut aussi dire qu’une autre exigence de 100jours était la rencontre avec quelqu’un, avec un groupe, avec une personne… en somme faire un portrait (portrait entendu d’une façon très large). En octobre 2006, quand Isa, Zoé et moi nous avons commencées à réfléchir au projet, nous nous sommes dites : « Il faut solliciter une confrontation avec des gens, obliger aux réals à aller vers les autres (c’était aussi une décision politique qui répondait à notre envie de faire du collectif) parce que si nous demandons seulement une démarche documentaire nous allons nous trouver avec 100 films pleins d’images plus ou moins abstraites unies par la voix off du réalisateur qui nous raconte sa vie ».
Nous ne voulions pas que chaque réal fasse son petit film dans son coin sans faire l’effort d’aller vers les autres (une des choses les plus dures quand on fait du doc). C’est vrai qu’il y a pas mal d’entretiens posés, quelqu’un qui parle dans un cadre fixe plus ou moins large mais ça ce n’est pas un « dispositif télévisuel », ça c’est simplement un entretien et des entretiens il y à eu dans le doc depuis le début des temps. La réflexion sur comment on peut mettre en scène la parole est capitale, et même si par exemple 12% et 32% ce sont des ITV, la différence entre les deux films est flagrante.
5 minutes c’est très peu de temps pour pouvoir développer un dispositif sophistiqué et maintenant je me rends compte que le projet à besoin aussi de films comme 38% parce que Anthony ne va peut-être pas à la rencontre d’un personnage mais il à fait un très bel auto portait et je lui remercie pour son petit bijou.
Enfin je crois que c’est vrai, 100jours à besoin des formes nouvelles, mais il faut dire aussi que penser à la forme sans penser au fond c’est une grave erreur et essayer d’être plus « expérimentale » ou « artistique » c’est dangereux si la seule motivation est d’être différent (je pense à la musique ou aux images accélérées de 39%). Mieux vaut un bon Eric Rohmer (presque tous) qu’un mauvais Spielberg (presque tous) aussi cinématographique soit-il.
Commentaire par ODile — Lundi 5 mars 2007 @ 21:20
Un peu lassé par la routine 1 jour=1 film, j’ai repoussé à plus tard le visionnage de ce film…
Mais la mention de « Peau de cochon » (le très beau film de Katerine) et la piquante référence à Eric Rohmer (VS Spielberg, ah ah) dans les commentaires me mettent l’eau à la bouche…
Commentaire par Vivons heureux en attendant Sarko — Lundi 5 mars 2007 @ 21:39
Après visionnage, je me range du côté des autres commentateurs : oui, 38% est sans doute LE meilleur film de 100jours.org diffusé jusqu’à présent.
Je crois que le parti pris autobiographique (avéré ou pas, ça n’a aucune importance) y est pour beaucoup, et qu’il fait définitivement la nique (à mes yeux et dans ma sensibilité de spectateur) à l’approche documentariste pure, sans doute un peu galvaudée/abîmée par nos (mauvaises) habitudes télévisuelles.
[à ce propos : on me souffle à l’oreille que l’Intégrale Autobiographique d’Alain Cavalier vient de sortir…]
La comparaison avec Peau de Cochon est également pertinente (le mode de filmage, mais aussi l’anecdote de l’agression/indifférence des passants, qui rappelle fortement le chapitre « Abyssale »)… et c’est plutôt un compliment.
Commentaire par Vivons heureux en attendant Sarko — Mardi 6 mars 2007 @ 13:31
Alors là j’aimerai bien savoir ce que tu désignes comme « l’approche documentariste pure » ?
Je crois qu’il faut arrêter de penser qu’il y a UNE forme documentaire, que le documentaire c’est juste le contraire de la fiction, que le documentaire c’est l’objectivité, le réel, la vérité vraie…
Le documentaire , il est multiple et c’est très bien. Le documentaire peut être « basé » sur des entretiens, prendre la forme d’une enquête et être très réussi : ROUTE ONE, REPRISE, PORK and MILK, SUD, PROFILS PAYSANS, HISTOIRE D’UN SECRET…, le documentaire peut aussi être un enregistrement plus « direct » du réel et être très bien : DELITS FLAGRANTS,DOMESTIC VIOLENCE…, être autobiographique et très beau: Le FILMEUR, DEMAIN ET ENCORE DEMAIN…. Et ce qui est très touchant dans ces films, c’est qu’ils sont tout à la fois rencontre avec le monde, les autres, et soi, et qu’on ne peut pas les réduire à un aspect, à un principe.
voilà, je crois que j’avais envie de citer quelques films ( et j’ajouterai ceux d’Avi Moghrabi, qui mêlent malicieusement tous ces « chemins » documentaires ).
Commentaire par isabelle — Mardi 6 mars 2007 @ 19:39
En réponse à Isabelle : je me suis peut-être mal exprimé…
Ma préférence va aux films qui parviennent à renoncer un moment au format documentariste classique (ce que j’entendais par « pur », c’est-à-dire à base d’enquête, captation a priori objective du réel, etc.), pour y ajouter des éléments subjectifs, ouvertement personnels (faire ressentir directement la personnalité d’un réalisateur, qui m’intéresse finalement plus que celle du quidam qu’il aurait pu filmer « objectivement »), voire carrément fictionnels, pourquoi pas (laisser une place à l’imaginaire du spectateur, c’est aussi intéressant).
Le Filmeur d’Alain Cavalier (proche de l’autofiction, donc de la littérature), Peau de Cochon (pseudo-journal-filmé-bricolo-dingo), Les Veuves de 15 Ans ou La Punition de Jean Rouch (qui versent carrément dans l’impro/fiction !), plutôt que Profils Paysans…
Exprimer une préférence, chère Isabelle, ne revient pas forcément à avoir une vue étriquée. Je ne nie pas la grande variété du documentaire en général. Je dis juste que j’en préfère une branche spécifique, plus proche de mes attentes. De même qu’il existe une diversité de styles documentaires, il faut que vous acceptiez la diversité des goûts chez les spectateurs.
Commentaire par Vivons heureux en attendant Sarko — Mercredi 7 mars 2007 @ 13:37
Le problème, monsieur qui attend Sarko, c’est que ce que l’objectivité dont vous parlez n’existe pas. Et que votre quasi unique critère pour juger les docs de 100jours c’est son éloignement ou pas des formes télévisuelles. Cette comparaison constante des films avec ce que nous voyons ou pas à la télé, parfois est pertinente mais la plus part des fois n’apporte rien à la critique constructive du film.
Commentaire par ODile — Mercredi 7 mars 2007 @ 13:53
Chère Odile…
Evidemment que l’objectivité n’existe pas totalement (c’est pour cela que j’ai mis « a priori » avant l’adjectif – il faudrait apprendre la nuance, quand vous lisez un commentaire, afin de ne pas bondir pour un oui ou un non). Mais oserez-vous nier qu’il y a des documentaires qui mettent plus en avant la personnalité (artistique ou pas) de leurs réalisateurs que d’autres ???
C’est là tout mon propos.
Quant à ce reproche sur mes commentaires… Vous portez manifestement des œillères. Les critiques sur la forme télévisuelle, je les ai plutôt faites dans mes commentaires sur les premiers films. Cela ne concerne pas 38%.
Donc, votre réflexion est déplacée et (pour vous citer) « n’apporte rien à la critique constructive du film ».
Je conçois que vous n’ayez pas apprécié mes réserves sur l’une de vos réalisations. Mais il faut apprendre à faire la part des choses, et éviter de me ressortir votre rancœur à tout bout de champ. Ici, pour le coup, c’est déplacé.
Commentaire par Vivons heureux en attendant Sarko — Mercredi 7 mars 2007 @ 14:17
Vous avez osé critiquer un de mes films!!!!!
Je n’en reviens pas.
Commentaire par ODile — Mercredi 7 mars 2007 @ 14:41
Mertci pour le commentaire de Lolo
« Le 27 octobre 2005 à Clichy-sous-Bois, trois jeunes garçons affolés, poursuivis par la police, se réfugient dans le périmètre interdit d’un transformateur électrique. Deux vont mourir, brûlés vifs, Bouna et Zyed.
Si vous en pleurez encore… »
Ce texte anonyme a été choisi par les Straub pour accompagenr leur dernier film (moins de 3mn) que j’ai vu hier soir.
Rien à voir avec 100 jours me dirai vous, mais hier je me demandais qu’est ce qu’on aurait écrit sur ce petit film s’il avait été fait pour 100jours…
Commentaire par Isa D — Mercredi 7 mars 2007 @ 16:42
En réponse à isa D /film des Straub.
Moi, j’aurais écrit BRAVO.
Commentaire par isabelle — Mercredi 7 mars 2007 @ 18:43
…merci a 100 jours pour tous cela..
…la question de rencontrer le réel pour se questionner sur la notion de « politique ». Oui, démarche très intéressante…
La question des ITV comme n’étant pas qu’un dispositif de télé mais du documentaire…je sais pas trop, cela dépend. Quand Isabelle cite les films documentaires ou il y a des « entretiens » certes ils font cinéma car dans chacun d’eux la parole est tellement travaillées qu’ elle fait cinéma et elles nous touchent, nous transcendent et nous eméne dans des ailleurs (hormis Pork and Milk peu être qui pour moi n’est pas du cinéma). L’exemple est le film Reprise ou tous est basée sur la parole mais une parole faisant sens car investie et contextualisé dans l’histoire d’un mouvement et des hommes qui l’on porté et le porte. Elle est réfléchi dans la façon dont elle va circuler, s’échanger et dépasser un peu le lot commun de ces paroles que l’on entend partout…qui disent tous pour ne rien dire. Dans reprise, les personnes qui parlent sont des personnages eux aussi en quête de cette illustre inconnu guelant sa haine de l’usine et de tous et c’est cela qui fait que leurs paroles nous touchent profondément je crois…Quand a route One/Usa, qui n’est pas une enquête, mais le retour d’un doc qui vient prendre le pou de l’Amérique. Et ci ici la parole n’est pas creuse c’est parce qu’il y a un rapport d’une extrême intensité entre le filmeur et le filmé, entre doc et R Kramer, en Paul Issac et le militant, entre les personnes et les personnages. Ici le travail de mise en forme de la parole est d’une profondeur extrême…C’est là ou le travail sur la parole dans le cinéma est primordial car sinon c’est de la télévision, du journalisme et encore autre chose. Et ce n’est pas parce que l’on réfléchi a comment donner a voir et a entendre que l’on tombe dans du cinéma expérimental ou autres je pense…Mais par contre si l’on n’essaye pas alors d’être assez exigeant dans ces réflexions, ne prend t on pas le risque de tomber dans du journalisme ? Dans une parole d’information sans émotions…?
Certes le format de 5 min, court, rend ces taches plus difficiles…mais je pense qu’il y a urgence a faire attention a tous cela en le réfléchissant. Et en essayant d’étre très exigeant avec cela…et en soi c’est politique cette exigeance je pense !
Tous devient très délicat pour « tous cinéaste ». Dans un monde ou l’image et la parole sont en excés et dans des excès divers, il est essentiel d’essayé de voir comment ont peut éviter de tomber là-dedans. Et ce n’est pas chose facile…IL y a 30 ans l’expérience de 100 jours aurai été extrémement pertinentes car la parole ne circulait pas autant. Une fois dans un débat, je demandais a Gherrbrant si a l’heure de maintenant il était possible de re-vivre les deux grandes expériences de cinéma-vérité ( basée sur la parole) des années 60. Celle de Rouch et Morin dans « Chronique d’un été » et celle de Paoslini dans « Comize d’amore »…Il m’a dit que non…là aussi j’essaye de comprendre le pourquoi, le quoi et vers ou aller…
Regardons ce qu’on fait nos illustrent anciens (cinéastes ou individus) dans la merveilleuses expériences des groupes Medwedkines ou ils voulaient faire des films sur le mouvement ouvriers et ou ils ont finalement faits des films avec les ouvriers….comment cela pourrai inspirer notre travail de cinéaste et notre vie d’individu pour ceux non cinéaste. Est-ce encore possible ? est ce que cela se fait ? et comment… ?
Le cinéma se meurt et on doit essayé de le ré-inventer en étant exigeant je crois…il en va de meme pour nos sociétés…
100jours lancent des pistes, a nous de nous les approprier…
100jours est un caillou, a nous de faire en sorte qu’ils fasent des vagues…encore et encore…
100jours est une belle chose en espérant qu’il donnera des petits…
Bien a vous,
Commentaire par lolo — Jeudi 8 mars 2007 @ 15:56
Et bien merci aussi Lolo…
Pour ce commentaire, ces réflexions sur les films, et plus particulièrement ceux « basés » sur la parole: Pour « Pork and Milk » ( ce n’est pas le plus touchant de ceux que je citais) je suis assez d’accord, mais il y a quelque chose de réussi dans ce film, dans la façon très sobre de recueillir des propos, dans leur accumulation.Et puis j’aime bien penser à ce film, en mème temps que penser à Voyages, ou à Là-Bas..
Et merci, aussi pour les encouragements autour de 100jours, de ce que cela peut être et devenir…
Commentaire par isabelle — Jeudi 8 mars 2007 @ 19:08
merci Anthony de cette petite ballade émouvante dans ces lieux familiers et dans tes pensées, ça définit assez bien ma vision de la politique : des idées, des avis, des doutes, des déceptions, des initiatives…beaucoup d’interrogations, beaucoup de promenades et d’allers et retours dans les rues humides…
…et au passage : je garde un très bon souvenir de ces repas de quartier rue de la Cathédrale!
Commentaire par claire — Jeudi 15 mars 2007 @ 18:25
quel plaisir d´entendre ta voix, tu parles si bien, ton film m´a vraiment touché. Je t´écris et j´ai les mains qui tremblent. Par ailleurs, je ne vote toujours pas car ca m´emmerde et je ne pense pas qu´être un bon citoyen ca se résume à mettre un petit bulletin dans une urne.
Je t´embrasse.Catherine de Suède.
Commentaire par Anonyme — Mercredi 24 octobre 2007 @ 15:54