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Que dire… félicitations.
et merci !
Commentaire par Dom Gelin — Dimanche 18 février 2007 @ 16:14
Tout est clair !
A diffuser largement…!
Commentaire par Moije — Dimanche 18 février 2007 @ 20:41
Très belle perspective
A mettre en parallele avec ce que j’ai entendu ce matin sur France-Inter, dans Interception*, émission d’Angélique Bouin – Le gouvernement du Gabon laisse détruire la forêt par les chinois contre especes sonnantes et trébuchantes – Je recopie: »Des compagnies pétrolières chinoises réalisent des forages dans les parcs nationaux »,d’autres compagnies chinoises font exploser le sol et surexploitent la forêt etc
Terrorrisant !
Commentaire par Fifi — Dimanche 18 février 2007 @ 22:12
ce n’est pas la terre qui nous appartient mais nous qui appartenons à la terre; nous n’en sommes que les hôtes, qui plus est, de passage. La Nature, elle, nous survivra à moins que sa colère ne nous fasse à jamais disparaître!
Commentaire par annie-claude — Lundi 19 février 2007 @ 0:00
Oui, c’est beau, et bien dit, et j’adhère complètement (comment ne pas). Mais je me pose la question de la cohérence avec le projet 100jours. On est là encore dans le film militant, pas dans le questionnement du rapport d’une ou plusieurs personnes (y compris le réalisateur) à la politique. Non ?
Le débat est lancé.
PS : pour continuer sur le même thème, regardez sur le site de l’INA (http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&
amp;from=fulltext&full=ren%E9+dumont&cs_page=
1&cs_order=0&num_notice=8&total_notices=21) la déclaration de candidature à la présidentielle de René Dumont, premier candidat écologiste, en 1974. Quand on pense qu’il a fait 1% au 1er tour.
Commentaire par Thomas — Lundi 19 février 2007 @ 12:16
Moi, je ne sais pas si ce film est militant.
Il propose un discours, passé et toujours d’actualité ; et s’il ne rencontre « personne », il est d’une certaine façon le portrait d’un réalisateur, qui s’interroge sur l’environnement, et la possibilté d’une écologie politique… Alors, ce faisant, il rencontre certainement, les préoccupations d’autres personnes.
isabelle
Commentaire par isabelle — Lundi 19 février 2007 @ 14:39
A mon avis ce film est tout a fait en accord avec les 100 jours, après tout le discours pourrait être celui d’une des campagnes actuelles. La politique s’attaque aux sujets « à la mode ». Pour moi c’est comme l’indemnisation des tiralleurs d’afrique dont on commence à parler après la sortie d’un film en 2006 alors que ça fait 40 ans qu’ils se battent. Ou encore les sdf qu’on « découvre » cet hiver… flippant.
Commentaire par Daniel — Lundi 19 février 2007 @ 16:34
Lorsque le vent détruit tout sur son passage comme en 1999 ou que nos petits vieux trouvent la mort quand il fait trop chaud comme en 2003 : les politiques semblent être sensibles aux thèses des défenseurs de l’Environnement. Mais que le désert ait avancé en Afrique ces dernières décennies, que l’Asie ait été touchées par des inondations de plus en plus destructrices ne semblaient pas les émouvoir ; n’y aurait-il pas une hiérarchie dans les victimes : les français et les autres.
Je ne vois là qu’une hypocrisie de plus pour engranger des votes.
Cà fait 35 ans que certains tirent la sonnette d’alarme : notre planète est en danger.
Commentaire par BILOUTE — Lundi 19 février 2007 @ 20:24
FIN 2006, « ON » A REMIS ENCORE UNE COUCHE À PROPOS DE L’ENVIRONNEMENT…
MAIS… UNE COUCHE DE QUOI
AU FAIT ?
UN PACTE…
FIN 2007, ON SE DEMANDE CE QU’ « ILS » EN AURONT FAIT…
A : Vous sentez-vous concernée par le nucléaire madame ?
B : Non, pas du tout
A : Ah !
B : Faut vivre avec son temps.
A : Comment ?
B : Faut vivre avec son temps !
COULEURS COULURES
La transformation de l’atmosphère atteint des proportions à l’échelle du globe et les modifications de la composition de l’air pourraient avoir des effets géographiques.
La multiplication du nombre des foyers de combustion a augmenté considérablement, estiment certains savants, la teneur en gaz carbonique contenue dans l’atmosphère. Cette teneur n’est pas nuisible directement, mais elle aurait pour conséquence une élévation de la température générale du globe.
Une telle modification climatique pourrait entraîner la fonte des glaciers polaires amenant une montée catastrophique du niveau des océans : 70 mètres dans le cas d’une fonte totale.
Un grand effort doit être accompli pour limiter la pollution atmosphérique.
Ces perspectives peuvent sembler monstrueuse à ceux qui ont la nostalgie du passé.
Mais il n’est pas suffisant de légiférer, de sanctionner
Il faut que cette action repose essentiellement sur le concours du grand public.
Il faut pour cela que l’opinion soit persuadée de la nécessité de cette protection parce qu’elle est vitale pour chacun de nous.
Il faut que tout promeneur, tout industriel, tout constructeur, tout exploitant, tout utilisateur des biens naturels soient conscients de cette nécessité.
Chacun doit sentir que protéger la nature coûte moins cher que réparer les dégâts commis et qu’il est donc plus économique pour la collectivité de ne pas polluer l’air et l’eau ou de ne pas saccager la forêt que d’avoir à combattre les pollutions ou à reconstituer ce qui a été détruit.
Chacun doit s’en persuader pour les cas où des sacrifices peuvent être demandés, par exemple des dérogations à la pleine jouissance d’un bien, rivière, espace naturel dont il est le propriétaire.
Dans un esprit très actuel de concertation, il faut que le public tout entier soit informé de ces dangers et puisse ainsi jouer lui aussi son rôle protecteur.
Une telle modification climatique pourrait entraîner la fonte des glaciers polaires.
Tout danger de pollution de la mer par les hydrocarbures s’accroît non seulement du fait de la multiplication du nombre des pétroliers, mais aussi de leurs dimensions. On peut se demander non sans angoisse ce qui arrivera lorsqu’un jour un pétrolier de trois cent mille tonnes viendra faire naufrage. À cette angoisse s’ajoute le fait…
Ces perspectives peuvent sembler monstrueuses à ceux qui ont la nostalgie du passé.
Mais elles sont déjà en phase de devenir une réalité !
La situation qui évolue rapidement impose une prise de conscience basée sur le sens de la responsabilité individuelle et collective. Si les hommes ont le droit à ce lien commun qui est leurs habitats, leurs airs, leurs eaux, leurs sols, ils ont le devoir de le protéger.
Pas plus un individu n’a le droit de détruire ou de polluer le milieu dans lequel il vit qu’une collectivité ou une nation ne peuvent laisser se dégrader un sol, détruire les forêts ou exterminer un faune. Ce sont des propriétés, des patrimoines de l’ensemble de notre planète terre.
… les centrales sont toujours là, la pollution diminue pas Hey
Un pas en avant, trois pas en arrière, c’est la politique du gouvernement…
Mais quatre ans après où est-ce qu’on en est ?
Les centrales sont toujours là, la pollution diminue pas Hey
Extrait « La nature n’en peut plus…. »
Numéro spécial du bulletin d’information du ministère de l’agriculture publié en 1970.
Bonjour ou bonsoir,
Je félicite Laurent pour ce joli petit montage vidéo.
Toute information qui touche l’environnement m’interpelle.
Je me suis permise de retranscrire le discours car je l’ai trouvé clair et surtout d’actualité.
Si vous avez des liens qui pourraient m’intéresser, vous pouvez toujours me les envoyer.
Houria, un être humain conscient.
Commentaire par Houria — Mardi 20 février 2007 @ 4:15
Les 2 extraits audio (l’interview de la vieille dame + le chant de fin) proviennent d’un enregistrement « maison » de la grande manif’ anti-nucléaire qui s’est tenue à Nantes le 20 octobre 2001 (certains y étaient peut-être…). C’est Voynet qui était alors ministre de l’environnement (on entend son nom à la fin… elle s’en prend pour son grade…). Bon, ça commence un peu à dater tout ça, mais… la même chose ou presque pourrait avoir lieu aujourd’hui. Je n’ai pas cherché à faire un film militant, ou à m’auto-proclamer chantre de l’écologie des « 100 jours ». Seulement, c’est en retombant sur cette revue au titre sans équivoque, et en constatant que tout ce avec quoi les médias cherchent à nous faire flipper aujourd’hui, le gouvernement Pompidou lui-même en faisait état il y a 40 ans. Qui s’en était alors préoccupé ? Une poignée de hippies, et encore… Qu’est-ce qui a changé en 40 ans ? Pas grand chose. C’est ça qui est flippant.
Commentaire par Laurent — Mardi 20 février 2007 @ 11:57
Et oui Laurent ! et il y a trente ou quarante ans il y avait déjà des gens qui se fritaient pour savoir s’ils faisaient du cinéma militant ou pas, s’ils s’autoproclamaient ou pas etc… Vous avez fait là un portrait de l’étonnement qui est le votre face à ces années de déni et de silence. Ce n’est pas important de savoir si c’est un film militant. On s’en fout. Vous agitez le mùiroir dans lequel vous avez aperçu des questions toujours sans réponses et la durée de conneries insondables et pérennes. C’est un travail toujours salutaire et important que de rappeller les choses à nos frères un peu amnésiques. Vous rejoignez des fils et ces étincelles trouveront bien des preneurs ! Si ce type de vieux documents vous intéresse, sur divers sujets, j’ai quelques trésors qui pourraient vous brancher pour de futurs films sur les immigrés, l’adoption, etc.
Commentaire par Reserbat — Mardi 20 février 2007 @ 16:47
que puis je dire de plus : bravo , bravo,étonnant tout de même de penser que tu t’interesse de si près à ces problèmes !!! continues
Commentaire par dominique — Mercredi 21 mars 2007 @ 0:23
Constructeur maison…
Bon article, nous le publions à l’attention de nos membres sur notre page Facebook et notre compte Twitter….
Rétrolien par Constructeur maison — Lundi 29 mars 2010 @ 23:17