17 commentaires »

1. beau travail!
   Moi aussi je me souviens des élections, de celles de 81.J’avais 8 ans, et tout le bureau de vote du village a su pour qui mes parents avaient voté. Chaque fois qu’apparaissait un bulletin « Mitterand », je disais assez fort et joyeusement Ouaih! ouaih! Je crois que j’étais vraiment contente, et contente pour ma famille…
   isabelle

   Commentaire par isabelle — Jeudi 1 février 2007 @ 14:59

2. Comme d’hab, Bravo David
   En quelques mots simples :
   Représentation du pouvoir /
   Pouvoir de la représentation

   dixit Louis Marin
   Daniel

   Commentaire par Daniel — Jeudi 1 février 2007 @ 15:23

3. Je suis particulièrement touché par ces paroles qui me viennent du coeur… J’ai enfin l’impression que quelqu’un parle pour moi, ça pourraient être mes mots… Et reste toujours sans réponse la question « Que faire ? »

   Commentaire par cedric — Jeudi 1 février 2007 @ 15:35

4. bravo continuez c’est très bien, nous sommes chacun une goutte d’eau mais rassembléesça peut faire un lac tranquille ou une chutte d’eau pétillante … ça change des sondages bidons de la radio ou TV Bon courage et merci

   Commentaire par michèle — Jeudi 1 février 2007 @ 15:40

5. paroles qui font tellement echo…oui, alors que faire???
   il m’est venu une idée, sotte et grenue peut-être : et si tous ceux qui ne sont pas dupe de cette illusion du choix votaient blanc, qu’adviendrait-il???? :-)

   blancblancblancblancblancblancblancblancblancblancblancblanc
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   Commentaire par annie-claude — Jeudi 1 février 2007 @ 18:43

6. Voter:tranche de vie familiale ? Dire qu’il m’aura fallu 30 ans pour m’inscrire dans un bureau de vote de la région parisienne et couper ainsi le cordon avec le bureau de vote de mes parents.
   7% = un régal.

   Commentaire par BILOUTE — Jeudi 1 février 2007 @ 20:36

7. 70% de blanc, quelle légèreté d’esprit soudain possible !, ne serait que se sentir quelques heures solidaires, tous, dans cette bouffée d’air libre avant la prochaine apnée…!

   Commentaire par namyorenguekio — Jeudi 1 février 2007 @ 20:37

8. une semaine que nous regardons les films dont la diversité nous ravit, qui creusent le hiatus entre caste politique et citoyen; ici l’émotion est là dans un film qui s’adresse à notre sensibilité pour jardiner notre conscience politique…beau sujet

   Commentaire par catherine et vincent — Jeudi 1 février 2007 @ 22:52

9. Belle et sensible exposition dialectique des vertus et impasses du vote et aussi de la fidélité/rupture avec la famille. On peut aussi voter contre les idéaux explicites de sa famille, en se voulant fidèle à quelques principes entendus dans des discussions familiales. Continuer d’avancer, fidèle à quelques amours et amitiés aussi. Chacun, chacune sa voix.

   Commentaire par pascal b — Jeudi 1 février 2007 @ 23:02

10. J’apprécie beaucoup les fenêtres (réelles, reflets, images d’archives, 100 jours) qui s’entremêlent, se répondent et nous invitent au jeu. Est-ce que tout cela est un jeu ?

    Commentaire par Pascal l'autre — Jeudi 1 février 2007 @ 23:22

11. au début, j’ai cru que c’était krivine !

    Commentaire par benoit richard — Vendredi 2 février 2007 @ 10:23

12. Whaô, bravo David… quelle émotion et en même temps quelle conscience dans ton film? un petit bijou en somme…

    Commentaire par Isa — Vendredi 2 février 2007 @ 10:39

13. Je viens de découvrir 100jours.org grâce à un billet de Hop. Merci, Hop !

    Je n’ai visionné que le « 7% », le film d’aujourd’hui et je me retrouve en partie dans ce que le monsieur zozotant explique : sa conviction qu’il faut voter alors que les politiciens sont de tristes stratèges pris dans la triste mascarade démocratique. La différence sensible, c’est que ma famille ne m’a jamais spécialement poussé à aller voter ou croire quoi que ce soit.

    Bravo pour l’idée, la réalisation du site, et le contenu d’aujourd’hui.

    Commentaire par Dolgo — Vendredi 2 février 2007 @ 11:58

14. Excellent ce monsieur si intelligent qui exprime le doute mais attention, demain c’est nous qui voterons et si notre voix n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan de l’incertitude nous n’avons pas le choix de devoir choisir. Choisir ! hé oui, on revient toujours à ça, choisir. Mais les gens qui font changer les choses, dans le sens du bien pour tous, ne peuvent pas s’arrêter là. ils agissent, tout le temps, dans leur vie de tous les jours. Et si voter, ce n’était au fond que se débarrasser pour cinq ans de sa responsabilité citoyenne !

    Commentaire par stef — Vendredi 2 février 2007 @ 21:50

15. « laisser prospérer le commerce jusqu’à la guerre » dit-il
    en 1938, Jean Giono écrivait dans « Le Poids du ciel » :
    « la société industrielle peut vivre de la guerre ; elle vit même mieux de la guerre que de la paix »

    Commentaire par yvalin — Vendredi 2 février 2007 @ 23:34

16. Putain David, je re-regarde ton film et à chaque fois je suis impressionnée. Ton texte est précis, intelligent et émouvant, et le dialogue établi entre ton texte et les images d’archive placées dans cette ambiance visuelle et sonore digne d’un film de Lynch est… très, très, très juste. Olé.

    Commentaire par ODile — Mardi 6 février 2007 @ 23:44

17. j’adore!

    Commentaire par Hello — Dimanche 11 février 2007 @ 20:34

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