12%
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12%, de Maïna Waezi et Lilian Huard. 06/02, Poitiers
24 commentaires »
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Bravo Hervé ! Tu n’as pas peur de dire tout haut ce que nombreux pensent tout bas. Et pourquoi ne le disent-ils pas ?
Est-ce par peur de perdre les quelques miettes de privilège que le système leur laisse, que le système a mis en place pour les museler ?
Où est-ce par j’enfoutisme? Mais ça revient au même.
Tu es l’exemple type des gens qui n’ont pas et qui donnent, qui n’ont pas et qui sont libres.
Voilà comment le système nous tient, en nous donnant un tout petit peu.
Rappelons nous que déjà Jules César disait: tant que le peuple a du pain et des jeux, il n’ a pas de soucis à se faire…Est-ce que les temps ont changé ?
Il y a beaucoup de choses à revoir et tout est à remettre à plat, mais les politiques ne sont que des ravaudeurs, des bricoleurs qui ne s’attaqueront jamais aux problèmes de fond…toujours pour préserver les mêmes intérêts.
Mais il faudra quand même voter; je suis d’accord avec Hervé, « voter par peur ».
Merci à l’auteur de ce film qui a déniché encore quelqu’un d’authentique !
Commentaire par michel — Mardi 6 février 2007 @ 14:57
Y’a quelqu’un?!
Commentaire par Isa, Odile, Zoé — Mardi 6 février 2007 @ 19:28
Euh oui… bravo hervé…
Mais moi ce film, en tant que film, me pose un probléme.
Je suis 100jours depuis que Odile, Isa et Zoé sont venues nous en parler en octobre (je suis membre de LFD, l’association qui accompagne ce projet).
Pour moi ce film va à l’encontre du projet comme je l’ai compris. Alors je vais donner mon opinion en mon nom, pour dire aux internautes ma conception de 100jours, ce pourquoi je me suis engagée depuis trois mois à travailler pour sa mise en place.
Avant de continuer je veux dire que j’ai fait le choix de ne pas faire de film pour les 100jours, question de temps mais aussi de l’importance de la réflexion qui doit se dérouler sur ce site. Je ne me sentais pas capable, car en 5 minutes, c’est un exercice très périlleux et le politique est pour moi trés difficile à analyser. Donc bien que la suite n’aille pas dans le sens du poil, merci et bravo Maïna d’avoir eu le courage de t’embarquer et de te frotter à l’exercice.
Mon problème donc c’est que, là, je ne vois pas un film documentaire, je vois un bout à bout de rushes maladroitement choisis, qui hachent la parole d’Hervé (ou la délayent…), l’accumulation donne un résultat étrange. Tout est mélangé : les enfants de Don Quichotte, le vote, le préfet, la yourte, SDF, considérations approximatives… Je ne vois pas la rencontre, je vois une interview. Du genre « assieds-toi là coco on va te poser deux ou trois questions ». 100jours est une série documentaire, et le documentaire nécessite une phase d’écriture solide.
Bon, il y a aussi les cartons… à la limite le premier a un peu de sens car il dit le nom et surtout le métier d’Hervé (et ne pas mettre son nom de famille, peut être qu’il ne voulait pas, mais ça lui donne un statut, genre le gars sympa, le bon gars Hervé, ça me fait penser aux patrons qui tutoient les employés qui les vouvoient). Mais les panneaux du genre « pourquoi ce choix? » « fracture sociale », pitié, justement, on est pas à la télé, pourquoi sur- souligner selon les codes établis ? Pour moi ça revient à prendre les gens pour des cons, à leur flécher le travail, et surtout c’est à l’image du « prêt à penser » qu’on donne tous les jours dans l’espèce de dévidoir d’excréments qu’est la télévision.
Bien sur que je me sens proche du désir d’autonomie et de liberté d’Hervé, j’admire sa démarche et son ras le bol, j’adhère, bien que le coup du « si l’état prenait un petit peu moins que les 50% qu’ils prennent habituellement en taxes sociales… « , dit comme ça entre deux autres bouts de rushes c’est un peu glissant comme propos : on a déjà entendu ça ailleurs…
De toute manière ça n’est pas si simple. Mais bon, le fond, cette parole, pourquoi pas…
C’est juste la forme, le travail cinématographique. C’est à l’image du brouillard qui règne autour du mot documentaire…
J’imagine que certains trouveront ma critique déplacée car il auront aimé le film et se sentent aussi proches d’Hervé. Je les comprends. Mais si je l’exprime c’est aussi parce que la vigilance, c’est l’intransigeance. Et je parle ici d’image, en tant que jeune réalisatrice en apprentissage.
Je dis tout ça car le projet me tient à coeur, je trouve l’ambition d’Odile, Isa et Zoé importante. Rassembler 50 réals autour de cette question, et autour du travail de l’image (mise en perpective avec les médias) c’est culotté, un bel engagement ce projet collectif. Et je ne voudrais pas que le projet glisse, car en tant que membre de l’organisation, ce film, j’ai du mal à l’assumer , il ne répond pas à la note d’intention écrite au début. Mais 100jours c’est aussi laisser la place et l’expérience à ceux qui se sont engagé et encore une fois bravo à tous de votre engagement !
Commentaire par Rébécca — Mardi 6 février 2007 @ 20:13
Je suis un peu gêne par ce film. Cette parole captée me semble à priori intéressante, et la démarche de vie adoptée par Hervé me semble être un choix politique fort qui demande à être entendue (même si ces propos sont très confus et remplis de paradoxes).
Néammoins la forme du film est complêtement en inéquation avec la proposition politique du personnage. Nous parlons, et les 100 jours tentent de le faire tous les jours, ici de portrait, ce qui sous-tend une implication d’un réalisateur qui va à la rencontre d’une personne (ou plusieurs, ou même lui-même) et qui y amène son éthique et son « savoir-faire esthétique » pour construire une oeuvre qui résonne avec la personne filmée. Le but des portraits des 100 jours est de capter « le politique » mais également de le générer par une approche cinématographique.
Les effets, le hâchage systématique de la parole, le titrage « Cartoon », non seulement ne permet pas de restituer la pensée du personnage (même si elle me semble confuse une fois de plus…) mais à mon avis elle annihile complêtement la possibilité de ce film à « générer » du politique par des procédés à mon avis fumeux.
Ce personnage aurait peut-être mérité une approche plus longue, plus approfondie… car je suis tout de même convaincu que ses paroles et ses choix auraient pu être de grand intérêt. Voilà.
Commentaire par Ben — Mardi 6 février 2007 @ 20:18
au risque de paraitre ringarde…donnez aussi la parole à des gens qui ont des enfants, qui les emmènent à la crèche, qui les mettent à l’école, qui apprennent un métier, qui veillissent, qui ont mal aux dents, qui partent en vacances, qui sont malades, qui travaillent … la politique, c’est eux aussi!
bonne route!
Commentaire par marielle — Mardi 6 février 2007 @ 20:38
Patience, marielle, patience.
Commentaire par ODile — Mardi 6 février 2007 @ 22:45
9,10,11 et 12 : ces 4 films illustrent bien la diversité.
Merci aux auteurs
Commentaire par BILOUTE — Mardi 6 février 2007 @ 23:09
J’ai bien aimé ce film , dans sa forme et dans son contenu. J’ai compris le message d’Hervé : il relate des faits qui font partie de son quotidien et aussi il nous fait part de ses opinions, de son ressenti, à propos de la société et de la politique.
Film vivant, surprenant, Bravo aux auteurs !
Commentaire par Pascale — Mercredi 7 février 2007 @ 0:05
Je pense que le plus à même de pouvoir juger le « hachage » de propos serait encore Hervé.
Chacun porte en soi ses propres contradictions et paradoxes…
Commentaire par Greg — Mercredi 7 février 2007 @ 0:07
Bon on a regardé ; on a lu les commentaires. Je ne suis pas si atterré.
et comme dit Greg ce serait à Hervé de pouvoir dire s’il a bien été compris.
J’aime assez le discours d’Hervé malgré ses paradoxes (SdF mais avec une adresse, apolitique mais anar/autonome) et ses affirmations limites (l’entreprise redistribuerait taxes et charges non-perçues). Il revendique sa façon de vivre et s’engage …politiquement… pour l’affirmer.
Mais ces hésitations, ce discours décousu aurait pu être remis en forme si le réalisateur avait pris le temps du travail et de la réflexion comme dit dans les commentaires précédents. Déjà auteur de 9% (c’est la yourte qui m’a interpellé) on a l’impression que la réalisatrice s’est dit « tiens une tente, y’a quelqu’un ? j’ai encore 5 minutes 15 de pellicule, on les fait ? »
De la réflexion aurait offert à Hervé du temps pour clarifier, affiner ses positions, revendiquer ses paradoxes au besoin.
On peut aussi se demander à quoi servent les rires, les « cartons » ? sont-ils nécessaires ?
Ce film aura quand même de grands mérites : montrer qu’une interview n’est pas un documentaire. Que les contraintes exposées dans le projet doivent être respectées. Que ces contraintes aident le réalisateur à la mise en œuvre de son film. Bref, qu’il est bon quelquefois de recadrer l’aventure.
Les 88 journées restantes n’en seront que meilleures.
Commentaire par yvalin — Mercredi 7 février 2007 @ 0:57
En reponse au commentaire de Marielle
Peut etre que je le comprend mal mais la plupart des gens qui ont été filmé dans les films de 100jours travaillent, qui ont sans doute des enfants, ont mal aux dents, vont partent en vacances…
En ce qui concerne le film, je suis globalement d’accord avec les commentaires. Les effets sonores surtout me donnait l’impression de se moquer de la parole de Hervé.
C’est un exercice compliqué d’allier son regard au réel mais si ce traitement refletait le regard des realisateurs, je trouve ca ambigue.
Commentaire par Emeline — Mercredi 7 février 2007 @ 2:44
J’ai été beaucoup touchée et émue par le commentaire de Reb, toute la force, la passion et la colère qui s’en dégage est à l’image de celle qui se présente encore comme une réalisatrice « en apprentissage », et est aussi à l’image de ce que peut être à la fois le politique et le documentaire.
La question que finalement pose ce film et le commentaire de Reb (et dont la cellule parisienne a débatu hier soir) c’est : est ce qu’on peut faire un documentaire en 5 mn maxi? et surtout en le réalisant 10 jours avant sa diffusion…
Reconnaissons honnetement que ces deux contraintes sont individuellement contradictoires avec la notion de documentaire.
Jusqu’au projet 100 Jours j’aurai massivement répondu non, le documentaire a besoin d’un peu de tps pour poser une parole, un/des personnages, une intention, une colère, une révolte, un sentiment, que sais-je encore… Toutefois on voit déjà dans les films proposés des docu, je pense notamment au 7% de David Sorin, mais je sais aussi que si les « petits % » de 100 jours peuvent être des docu, c’est aussi parce qu’ils sont les éléments d’un tout, d’un véritable projet docuementaire.
Au delà du temps, ce qui fait un documentaire, c’est l’intention! c’est le travail du réalisateur, son écriture, son intentation, sa préparation.
Et là, il ne semble pas y en avoir bcp, je m’accorde avec les critiques de Reb, il est vrai par ailleurs que le discours d’Hervé semble déjà très confus et contradictoire (il dit avoir fait le choix d’être SDF, ne veut pas de voisins, ni payer de loyer mais il réclame des logements…), mais un montage peut parfois rattraper un discours confus, là on a l’impression qu’il l’empire…
En tout cas cela n’enlève rien au travail de Maïna dont on a vu les qualités avec 11%.
Je reconnais que j’ai le beau jeu de faire des critiques, je ne suis pas certaine de pouvoir faire mieux, et je ne me suis engagée qu’à réaliser un seul film.
Bon courage à tous
Commentaire par Isa D — Mercredi 7 février 2007 @ 9:40
Bravo! Si vous pensez que votre objectif était de polémiquer sur les films, que la place était pour un forum de réalisateurs, alors vous êtes prêts de l’atteindre.
Continuez et vous serez complètement en dehors du cadre des 100 jours.
Si c’était çà le fond, alors il faut revoir la copie…dommage.
Commentaire par Michel — Mercredi 7 février 2007 @ 10:31
c’est vrai michel qu’on prend peut etre un peu de place sur ce coup là.
Mais si vous ne voyez pas dans nos commentaires des réalisateurs qui s’interrogent sur leurs pratiques et que vous n’appréciez pas le fait que nous soyons conscients de notre réponsabilité quant au travail de l’image c’est qu’il a quelque chose du projet qui vous à echappé à vous aussi.
c’est le jeu entre le fond et la forme dont on parle. Souvent il n’y a pas de recul sur la maniére de montrer les images, on va directement au propos qu’on gobe… Comme on voit des images partout on s habitue et la mediocrité s’installe.
Je fais partie du projet, je ne suis pas d’accord avec un film, je m’exprime, ça n’est pas une polémique entre réalisateurs, je crois justement que ça concerne tout le monde.
Et je trouve que votre commentaire est représentatif du problêm que me posent les films mitlitants qui dans l’urgence du propos s’assoient royalement sur un travail cinématographique (qui fait partie intégrante de ce que transmet le film).
pour greg, je suis d’accord avec toi… je pense qu’Hervé ne trouvera pas que sa parole est hachée, ni déformée, car il l’a dite, il est intelligent il sait ce qu’il dit. Mais les gens des reportages du jt de TF1 aussi ne doivent pas se trouver trahis non plus dans la mesure où ils entendent ce qu’il ont « rééllement » dit…
C’est bien la question qui se pose ici, celle du documentaire et du « réel »…
Toutes ces questions, je ne les trouve pas hors sujet, dans la mesure où 100jours, me semble t’il à la prétention d’apporter un regard différent.
Mais bon évidemment c’est mon quotidien ces proccupations alors je comprends que vous puissiez me trouver trop radicale, ou pointilleuse …
Mais en fait je suis trés gentille/
Commentaire par rebecca — Mercredi 7 février 2007 @ 11:07
Je ne vois pas en quoi nous sortons du cadre de 100 jours.
Il ne s’agit d’ailleurs pas de polémiquer mais de donner notre avis sur les films qui nous sont proposés, des commentaires en sommes, puisque c’est un espace à « commentaire ».
Quand tu dis que nous emblons prendre cet espace pour un forum de cinéastes, c’est que visiblement tu désaprouve nos échanges cinématographiques, et tu ne souhaitrerais que des commentaires sur le fond, par exemple ici seulement des commentaires sur la situations des SDF en France, les enfants de Don Quichotte, ect ect…
Mais voilà, si nous nous permettons de parler, de discuter, de la forme du film, c’est parce qu’elle est indissociable du fond.
Si on ne veut que du discours simple, il y a des débat, dans film c’est la forme qui met en jeu le discours, qui l’élève ou qui l’enfonce.
Donc si nous parlons de la forme de ce film, de la notion de documentaire dans l’ensemble de ce projet, c’est parce que nous tenons à ce que la forme serve le fond, c’est un principe important en cinéma, crucial en documentaire, la forme d’un film EST politique, autant que son discours.
Petite note : bien entendu pour les qualité de Maïna je parlais de 9%, et non pas de 11% qui est de Damien, mes excuses pour cette coquille…
Sinon je continuerai de poster des commentaires, politiques et cinématographiques, tout simplement parce que pour moi le cinéma est politique, par ce qu’il dit, par la façon dont il le montre.
re bon courage à tous
Commentaire par Isa D — Mercredi 7 février 2007 @ 11:17
je tiens encore à vous féliciter tous pour l’engagement remarquable de ce projet. Je suis entièrement d’accord avec les commentaires de Ben, d’Isa, et de Reb (j’aime beaucoup ta très discrète allusion à Demy…heureusement tu ne ressembles pas à une poule…;-)) je pense que ce film, et tous ces commentaires et critiques qui suivent vont vraiment dans la lignée du projet. Le film provoque un débat, puis le débat provoque un débat. 100 jours devient (et c’est, je pense du moins, un bien) une vraie métaphore de la société qu’il représente. Je crois que c’est proprement humain. Dans tous les groupes, à tous les niveaux, il y a des normes, des codes, même malgré nous: On se rassemble parce qu’on se ressemble ou on veut se ressembler : étudiants, couples, sdf, documentaristes, militants politiques, groupe d’amis, familles… dès qu’une déclaration (avis, oeuvre d’art, remarque, personnalité, préférence séxuelle etc) remet en question l’autorité, ou la justification du groupe, ça provoque des remous. au meilleur des cas, un débat fructueux comme ici, au pire, les conflits voire la guerre (évidemment je prends des extrêmes). Ce type de débat nous fait vivre ( et fait vivre l’art), sinon on tombe dans un consensus semi privé- c’est génial, j’adore, c’est nul- où on ne fait que se conforter dans nos certitudes. Donc poursuivez jusqu’au bout, et vive la Famille Digitale!
Daniel
Commentaire par Daniel — Mercredi 7 février 2007 @ 17:38
La famille digitale… hum… vous êtes un peu dur avec ce petit film… vous êtes pas obligé d’aimer… mais vous êtes pas non plus obliger de le descendre… il a le mérite d’exister et c’est déjà pas mal.
Commentaire par Discus — Mercredi 7 février 2007 @ 23:50
ce qui est déjà bien, c’est qu’il ne laisse pas indifférent.
.L.
Commentaire par lilian — Jeudi 8 février 2007 @ 12:09
Juste un petit mot en réponse à Discus.
Avant de se permettre de commenter le film, La Famille Digitale a soutenu sa réalisation, puis elle l’a mixé, normalisé, encodé, mis en ligne, avant de lui offrir un espace de diffusion sur le Web, au cinéma, à la télévision … Il ne s’agit pas de « descendre les films » mais de réfléchir ensemble.
Commentaire par Romain (LFD) — Jeudi 8 février 2007 @ 12:53
OUPS !! je crois que mon commentaire arrive en 20ème position… Juste pour dire qu’après avoir lu tous les autres, je m’associe aux propos de Daniel, de Discus, de Lilian et de Romain… soit les 4 précédents, qui résument tout à fait le fond de ma pensée.. Bon courage à tous, et que vive longtemps la liberté d’expression !
Commentaire par Marie Christiane — Jeudi 8 février 2007 @ 15:31
salut ,c’est moi , rv
bon moi aussi , j’ai lu les commentaires . La facon de realiser , les coupes , le montage , les « cartons » , tout
ça , moi j’y connais pas grand choses alors je ne vais pas en parler .
Ce que je voudrais dire , c’est que nous sommes tous rempli-e-s de paradoxes . Je voudrais dire egalement que je ne demande pas de logement pour moi mais pour les autres .
Je pense que dans notre vie au quotidien , on a beaucoup oubliè-e les autres .
Le gouvernement(qui a ètè èlu par le peuple) oubli qu’il y a des personnes , qu’il ne voit pas où ne veut pas regarder , qui reste à la traine . Alors que c’est personnes font partie du peuple .
Demain , regarde les gens de ta rue , pose leurs des questions , ecoute leurs rèponses et tu verras pour vivre y a pas 36 solutions .
bon merci beaucoup a MAINA pour ce temps de parole .
merci michel , emelyne et les autres (tout les autres )
au revoir
Commentaire par herve — Jeudi 8 février 2007 @ 17:53
Le debat dans les commentaires confirme ceci : on a un urgent besoin d’EDUCATION A L’IMAGE.
Sinon, Herve, merci pour ton commentaire : ta solidarite et ta generosite m’ont emue. Prends soin de toi.
Commentaire par kremayere — Vendredi 9 février 2007 @ 2:36
Mea culpa
Hervé, excusez-moi d’avoir employé le terme « cartons », qui ne veut rien dire. J’évoquais les petites phrases en incrustation.
Pardon à tous d’avoir employé un terme idiot et incompréhensible dans ce contexte .
Commentaire par yvalin — Samedi 10 février 2007 @ 23:59
Pitié…
Commentaire par Geoffroy — Lundi 12 février 2007 @ 23:39