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22%, de Gil Athanassoff. 16/02, Les 5 jours des Deux-Sèvres.
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Filmer une citoyenne en colère, même si celle-ci a les meilleures raisons du monde, ne présente (à mes yeux) aucun intérêt si le réalisateur n’apporte pas un cadre et une vision.
Dans ce cas précis, tous ces propos, mélange de pure sincérité et de « tous pourris » un peu rance, m’auraient paru gentiment imbitables s’il n’y avait eu cette chute, pour le moins brutale, et terriblement efficace.
Le mot de la fin tombe comme un couperet, et il subsiste une délicieuse ambiguïté (« vote extrême »… mais de quel bord, au juste ???).
C’est tout à fait réussi.
Commentaire par Vivons heureux en attendant Sarko — Vendredi 16 février 2007 @ 13:14
« Voter à l’extrême »: pas d’accord avec « vivons heureux… », cette ambiguité n’est en rien délicieuse. Sinon, elle a parlé avec son coeur, certes. Existe-t-il une personne sur cette terre qui ne mérite pas qu’on l’écoute? Non. Mais quelle est cette souffrance bien à elle concernant des enfants?
Pourquoi ce parti pris de (presque toujours)couper les questions?
Commentaire par pascal b — Vendredi 16 février 2007 @ 21:26
Ambiguïté « délicieuse » dans le sens où je n’aime définitivement pas les films univoques.
Ici, il subsiste de sacrées parts d’ombre (voire de noirceur ?), qui laissent une place – vos questions le prouvent – au doute et à l’imagination du spectateur.
Commentaire par Vivons heureux en attendant Sarko — Vendredi 16 février 2007 @ 21:53
Ce film me fait penser fortement au film 3% (son pourri mais texte intégralement retranscrit) , dans lequel Luc nous racontait ce qui peut arriver avec tous ce « gens en colère ».
Commentaire par ODile — Dimanche 18 février 2007 @ 17:48
Je ne trouve pas ça très réussi, notamment les fondus au noir qui coupent systématiquement la parole et laissent en suspens le discours. On a la même impression de morcellement que pour le 13% avec le porte parole des SDF.
Commentaire par Thomas — Mercredi 21 février 2007 @ 10:41
La contrainte qui nous est imposée est de cinq minutes , alors forcement il y a de la coupe , et je suis le premier a le déplorer .
Commentaire par Gil — Mercredi 21 février 2007 @ 11:53
si le but du film était d’évoquer le flou la pensée brouillée et désenchantée je dirais que c plutôt reussit.
le film nous laisse avec une drôle d’impression…
Commentaire par tiptip — Samedi 24 février 2007 @ 13:27