9 commentaires »

1. « Comment s’y retrouver entre les candidats
   d’extrême-gauche ? En tout cas, tout le spectre
   anti-capitaliste est représenté en France.

   - Marxisme-lénisme d’Arlette Laguiller
   - Social-démocratie (réformiste) marxiste de MGB
   - Anarco-communisme (luxembugo-gramsciste) de
   Besancenot
   - Ecologie politique (crypto-maoïste) de Voinet
   - Altermondialisme agrarien (proche des anarchistes
   primitivistes américains type Chomsky) de Bové
   - Fédéralisme communaliste (marxiste et proudhonien)
   de Schivardi
    »

   Ca va mieux en le disant.

   Commentaire par Cristoforo said: — Samedi 17 mars 2007 @ 17:28

2. Par rapport à la remarque ci-dessus ou à certains propos du film, je pense que, même si beaucoup de reproches peuvent être faire aux partis, il n’en reste pas moins qu’ils traduisent une volonté de se coltiner la complexité du monde en proposant des solutions collectives au fonctionnement collectif de la société. Ce qui est un processus frustrant, désorientant, insatisfaisant, sans pause, mais qui nous met en contact avec le souffle du monde autrement que par une démarche strictement individuelle ou artistique par exemple.

   Commentaire par Pascal — Samedi 17 mars 2007 @ 19:22

3. Cristoforo said a réagi à un quelconque journal télévisé sur les multiples candidats à gauche du PS et pas à ce film. C’est un film qui vient éclairer les films précédants. Eclairer, car pour moi filmer un immeuble de bureaux vidés de ses occupants n’évoque pas une dénonciation de l’aliénation des salariés- manque de culture peut-être-. Ici un texte anarchiste (non?) avec un souffle épique: être « le cauchemar de ce cauchemar », c’est bien dit. Un souffle,une poésie,une éthique. Je salue, au-delà de mes désaccords.

   Commentaire par pascal b — Samedi 17 mars 2007 @ 21:34

4. Vos commentaires c’est de la merde. Ce film aussi

   Commentaire par Igor — Dimanche 18 mars 2007 @ 12:20

5. En général dans ce type de forum il y a topujours un abruti (plus rarement une c’est étrange)
   Et jusqu’à présent rien de tel! Fêtons tous son avènement : Igor est parmi nous ! Igor, ton commentaire c’est du film, ta merde aussi, ou bien Le commentaire d’IGOR filme la merde, ou encore Merde Igor, tu filmes des commentaires?
   C’est quand la Saint Couillon ? Je lance une souscription pour que Igor puisse se faire offrir une massette de carreleur pour se taper sur les doigts…Car lorsqu’on arrête c’est tellement agréable ! Il devrait essayer.

   Commentaire par Reserbat — Dimanche 18 mars 2007 @ 14:17

6. j’ai la sensation que igor est un membre du collectif sans nom, ceux qui vont tout faire péter un jour, quand Guy sera ressuscité. Il doit trouver le film un peu mou et contreproductif ? c’est ça igor ?

   Commentaire par jean — Dimanche 18 mars 2007 @ 15:18

7. Remarque tardive ( je regarde les jours par vagues )

   - tout à fait d’accord avec jean au sujet d’igor

   - petit film qui montre juste la vision nihilo-anarcho-chose de jeunes gens ( que j’estime entre 25-28 ans, mais plutôt 25)- Ce que j’entends c’est « je veux tout peter…puis faire l’amour »- DOnc:discours de jeunes gens qui trainent à la fin du monde de l’adolescence – je dis bien adolescence car « tout m’embête,je veux tout peter mais je ne propose rien comme reconstruction »
   dernier baroud avant de se coltiner la réalité de la vraie vie
   les images traduisent pas mal la vacuité et le leger malaise qui sourd de ce discours

   51 % est à rapprocher de 6%
   sous-groupe :  » malaise d’une certaine jeunesse »

   Commentaire par fifi — Mercredi 21 mars 2007 @ 20:27

8. Entre parenthèse il y a une confusion entre Chomsky et les anarcho-primitivistes qui sont jsutement à l’opposé des positions de Chomsky!

   Commentaire par Anonyme — Mardi 10 avril 2007 @ 21:41

9. « Attendre que tout continue »: malheureusement c’est si vrai, jeunesse & adolescent ou pas c’est tellement juste, on a fait ça depuis des années, malgré la trahison Mitterand, malgré des privatisations records de Jospin, on continue à attendre, quoi? Le status quo, qu’on nous encule autrement. Oui qu’est-ce qu’on attend? Un sauveur qui nous amène, nous les bons moutons à l’abattoir? Oui c’est nihiliste, comme le vieux Bakounine, créer c’est d’abord détruire, la loi universelle après tout…Qu’a cette société pourrie jusqu’à l’os a nous offir après tout? Les nouvelles marchandises des nouvelles technologies: travailler plus pour consommer plus, est-ce un projet de civilisation? Il est temps, pas nécessairement de tout détruire parce qu’on ne peut pas: Besancenot, ce n’est pas un ennemi, c’est même mieux que rien, mais même lui, les gens n’y croit pas, car le spectacle est là pour le discréditer. Finalement, « en finir avec cette société » est encore la chose la plus raisonnable: une contradiction de plus de cette civilisation du néant.

   Commentaire par Anonyme — Mardi 10 avril 2007 @ 21:58

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