Odile Magniez
Je suis née à Oviedo, une ville du Nord de l’Espagne en 1973. Il restait encore deux années à vivre au dictateur Francisco Franco.
Je viens d’une famille plutôt de gauche qui m’a toujours soutenu dans chacune de mes recherches personnelles. Après Oviedo, j’ai vécu à Salamanque, Madrid, Angoulême et Poitiers. J’ai travaillé comme scénariste à la télévision. J’ai réalisé un long-métrage documentaire dans le cadre du Master de Documentaire de Création de l’université de Poitiers intitulé Comme le sable… Maintenant je suis au chômage et je n’ai pas le droit au RMI.
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Nací en Oviedo (España) en 1973. Al dictador Francisco Franco aún le quedaban dos años de vida. Provengo de una familia más bien de izquierdas que me ha apoyado en cada una de mis búsquedas personales. Después de Oviedo he vivido en Salamanca, Madrid, Angoulême y Poitiers. He trabajado como guionista en la televisión. He realizado un largometraje documental en el marco del Master de Documental de Creación de la Universidad de Poitiers titulado Como la arena… Ahora estoy en el paro y no tengo derecho al RMI.
Odile a co-réalisé 1%, 2%, 3% (avec Zoé et Isabelle), réalisé 25%, 26% et 71%.
Et a co-réalisé 69% (avec Isabelle).
4 commentaires »
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Bien que nouvelle en France, Odile a déjà des fans de ses réalisations centjouresques : humour, pugnacité, sa couleur rouge…
Et on ne vous parle même pas de sa voiture.
Vas-y Odile, continue !
Quand pourra-t-on voir « comme le sable » ?
Commentaire par Pascal — Dimanche 25 mars 2007 @ 13:50
Dans 71% le personnage a un problème. C’est Odile. Eh bien Odile réalistarice et personnage embrassent le problème, le saisissent à bras le corps. Ça doit souvent faire mal au personnage mais la réalisatrice transmet de la vie. Mieux et plus précis: du vivace.
Je confirme : je suis fan.
Commentaire par Pascal — Samedi 7 avril 2007 @ 1:57
chère odile
pour nous la saint valentin est pour toujours la sainte odile nous espèrons que tu vas bien et nous t’embrassons
catherine et vincent taveneau
Commentaire par Anonyme — Jeudi 14 février 2008 @ 21:00
Je ne peux que vous sourire…
Merci, merci.
Commentaire par ODile — Vendredi 15 février 2008 @ 12:55